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Dans un communiqué signé par son président, Dr Mohammed Mraizika, le collectif souligne que la présence d’officiels du Polisario, de députés algériens et d’activistes «patentés supporteurs inconditionnels de thèses séparatistes et déstabilisatrices de toute une région», à l’initiative de l’élue écologiste dans une instance parlementaire aussi respectable et respectée que le Sénat, «a heurté et choqué les citoyens franco-marocains et franco-maliens» membres du collectif.
En tenant cette conférence à voix unique le jour même où le président François Hollande se rendait au Mali dans le cadre du combat de la France contre le terrorisme au Nord Mali, la sénatrice Leila Aichi «a failli à son devoir de solidarité nationale».
Car il est de plus en plus patent, relève le Collectif Almohagir, que ces «groupes terroristes qui sèment la mort et la désolation au Mali et propagent le fanatisme et la terreur dans toute la zone sahélienne» comptent dans leurs rangs des combattants et des agitateurs actifs issus du Polisario dont la complicité a permis dans le passé aux jihadistes-trafiquants du Nord du Mali d’enlever des otages européens dans les camps de Tindouf en Algérie.
De ce fait, cette sénatrice porte «un tort à la politique étrangère française et à l’amitié franco-marocaine».
Aussi, son exclusion du groupe d’amitié France-Royaume du Maroc au Sénat «apparaît aujourd’hui comme une réponse urgente qui, si elle ne peut réparer tout le tort moral et le préjudice politique subis, sera perçue comme une décision juste et justifiée».
Un appel a été lancé pour collecter les signatures demandant l’exclusion de cette prétendue amie du Maroc.