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"Que Mariano Rajoy (chef du gouvernement) m'appelle pour lui expliquer que ces lames coupent ", a indiqué le secrétaire général du PSOE au micro de la radio "Cadena Ser", en réaction à l'installation controversée de ce dispositif, mis en place par Madrid pour freiner les tentatives d'assauts de clandestins subsahariens qui aspirent à gagner l'Espagne.
M. Rubalcaba a rappelé qu'il avait "rejeté" cette proposition à l'époque où il était ministre de l'Intérieur, car il considérait ce dispositif comme "un système de protection inhumain".
Jeudi, le chef de l'Exécutif espagnol Mariano Rajoy, interpellé sur cette question, a déclaré à la Radio nationale " RNE " qu'il avait demandé un rapport au ministère de l'Intérieur à ce sujet pour voir les "effets" que peuvent avoir ces barbelés tranchants sur les personnes.
A signaler que l'opposition espagnole a demandé dans une motion présentée au Congrès des députés le "retrait immédiat " de ces barbelés, qui ont suscité l'indignation d'organisations internationales. Amnesty international s'est de son côté dite "profondément préoccupée" affirmant que "la réponse du gouvernement espagnol à la pression migratoire tend à s'éloigner du respect des droits des personnes qui tentent d'entrer" en Espagne.
Pour sa part, le PSOE avait indiqué qu'il compte porter la question des barbelés devant la Commission des droits de l'Homme du Parlement européen.