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D’autant que les ONG locales, connues pour leur solidarité aves les séparatistes, prennent cette affaire en main et exercent des pressions sur les autorités locales. L’incident a eu lieu cette semaine à Lanzarote quand des séparatistes manifestaient près de chez lui. Convaincu de l’illégalité de leur «cause», le policier est entré en discussion avec certains d’entre eux.
D’après la presse espagnole, l’accusé a rappelé les «abus de leurs chefs contre les Marocains séquestrés à Tindouf et les détournements des aides internationales qu’ils utilisent pour vivre luxueusement aux Iles Canaries et en Espagne». Il leur a même, d’après les mêmes sources, conseillé de «tenir des sit-in à Tindouf pour dénoncer le scandale humanitaire dont sont victimes des Marocains kidnappés que les chefs du Polisario et l’Algérie refusent de libérer de peur de perdre une cause perdue d’avance».
Ce qui n’a pas plu aux séparatistes qui l’ont tabassé. «Une agression qui a provoqué sa colère surtout que des policiers locaux ont refusé de le soutenir», rappelle un journal local. Sur ce, il s’est dirigé à son domicile avant de revenir sur les lieux de son agression muni d’un fusil de chasse qu’il a utilisé pour tirer trois coups de feu sur les manifestants. Bilan : trois morts et une panique générale dans les rangs des séparatistes.
Une enquête a été diligentée par différents services de police des Iles Canaries pour élucider les dessous de cette affaire qui promet déjà des rebondissements. Surtout que des ONG locales, excédées par les manœuvres et les manifestations inexpliquées des séparatistes sur leur territoire, ont fait montre de leur soutien au policier.