Cet accord rend quasi impossible la construction d'une bombe atomique par Téhéran et marque le début d'une normalisation des relations de ce pays de 77 millions d'habitants, aux riches ressources pétrolières et gazières, avec la communauté internationale.
Dans les rues de Téhéran, les Iraniens célébraient à coups de klaxons et de cris de joie, cet accord, après la rupture du jeûne du Ramadan. "Peut-être" que la situation économique "va changer, spécialement pour les jeunes", confiait Giti, 42 ans.
L'UE, l'ONU, Téhéran ou encore Londres ont salué un accord "historique", tandis que Moscou poussait "un soupir de soulagement" au terme d'un véritable marathon diplomatique.
L'entente a été arrachée à l'issue de 18 jours d'un dernier round de négociations.