-
La première édition du Festival du cinéma et de l’histoire, du 23 au 27 janvier à Marrakech
-
La tenue régulière de la Commission mixte et les avancées réalisées témoignent d’une relation de confiance entre le Maroc et le Libéria
-
Nasser Bourita : La réunion de la Commission mixte de coopération Maroc-Libéria, une opportunité pour établir un partenariat économique solide
-
Le Maroc et l’Agence de développement de l'UA résolus à renforcer leur coopération énergétique
-
Les Marocains en tête des affiliés étrangers à la sécurité sociale en Espagne
Ouverte à tous les professionnels (producteurs et réalisateurs), la nouvelle association professionnelle a été créée suite à un constat: «La Chambre marocaine des producteurs de films ne représente plus les intérêts de la profession, mais plutôt les intérêts d’une petite minorité des producteurs dont certains ne sont que des prestataires de services », déplore-t-on dans une note. C’est pourquoi, et craignant que cela porte atteinte aux intérêts des professionnels, plusieurs anciens membres de ladite Chambre ont décidé de se constituer en une nouvelle structure « plus démocratique et réellement représentative» pour mieux défendre la profession. C’est ainsi qu’« un comité restreint a donc préparé un projet de statuts, qui a été enrichi par un échange préliminaire avec les premiers adhérents», souligne-t-on. Et de rassurer que cette association sera « gérée d’une manière collective, saine et transparente ».
L’ANPF se fixe comme objectifs principaux de contribuer à l’organisation rationnelle de la profession cinématographique et audiovisuelle; procéder à toutes études, accomplir tous actes, adopter toute réglementation; organiser par voie de conventions professionnelles ou autres, les rapports artistiques, matériels et moraux litant les producteurs de films et les collaborateurs à la création et assurer la stricte application par ses adhérents des règlements intérieurs et des conventions interprofessionnelles concernant l’exercice de la profession.
L’ANPF entend aussi prendre en charge la défense des intérêts artistiques, moraux, économiques et sociaux de la profession, tant au Maroc qu’à l’étranger; organiser des commissions de conciliation et d’arbitrage; organiser des caisses spéciales et des fonds de soutien solidaires entre les membres, entre autres.