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Lors de cette rencontre, la première organisée après les échéances législatives du 25 novembre et après la décision du Conseil national de passer à l’opposition, M. Radi a affirmé que l’USFP adoptera une opposition objective et globale, tout en indiquant qu’il existe une différence de taille entre l’opposition menée dans le passé contre un régime politique autoritaire et celle qu’il compte pratiquer aujourd’hui. « Hier, notre principale revendication a été les réformes constitutionnelles et politiques, mais actuellement, l’opposition se trouvera face à un gouvernement composé de partis conservateurs et qui doit être confronté à des problèmes sur les plans social, économique, politique et culturel », a-t-il précisé.
Et d’ajouter que l’opposition ne doit pas se limiter à l’institution législative, mais se pratiquer dans toutes les régions du pays, non seulement via des communiqués et des positions politiques, mais en se basant sur des dossiers bien ficelés, prenant en considération les vraies préoccupations des citoyens et répondant aux besoins et attentes de tout le peuple, notamment l’élargissements des libertés, l’égalité, la dignité, la justice sociale et le respect de l’Etat de droit.
S’agissant des perspectives et des prochaines échéances, le Premier secrétaire du parti a souligné que la feuille de route de l’USFP est claire, appelant à procéder à une autocritique, éviter les erreurs du passé et préparer ces échéances à l’avance. « Il faut préparer les dossiers des candidats dès aujourd’hui et ne pas attendre les dates des prochaines élections », a-t-il noté.
M. Radi a également appelé à lutter contre l’anarchie organisationnelle qui risque de se transformer en chaos politique, ce qui porterait atteinte au parti et nuirait à son image.