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A l’issue du 4è round des pourparlers informels, tenu du 16 au 18 décembre, les parties ont entamé des discussions «approfondies sur des approches innovantes afin d’insuffler une nouvelle dynamique au processus de négociation en 2011, sur la base de rencontres régulières». Après cette nouvelle réunion, les participants devront se retrouver à nouveau, au mois de mars, comme cela a été convenu en décembre dernier.
Suspendu depuis septembre dernier, le programme des visites familiales entre les provinces du Sud du Royaume et les camps de Tindouf a repris par voie aérienne dans les deux sens. Dans ce cadre, le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le Polisario attendent à ce que ce plan avance également vers le lancement de ces visites par voie terrestre.
Par ailleurs, le plan d’autonomie est salué et qualifié à l’échelon international de réaliste et crédible. Ainsi, le ministre espagnol de la Présidence, Ramon Jauregui, a conseillé au Polisario de ne pas rejeter l’option d’autonomie au Sahara, proposée par le Maroc comme solution à ce conflit artificiel.
«Si j’étais le président du Front Polisario, je ne rejetterais pas l’option d’autonomie, au lieu de passer 30 ans sous des tentes», a dit M.Jauregui dans un entretien accordé à l’édition espagnole du magazine «Vanity Fair», paru dans son numéro de février 2011 rapporte la MAP.
Et de poursuivre que le Polisario «va devoir expliquer un jour» aux Sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf «pourquoi l’autonomie ne lui plait pas». M. Jauregui est considéré, aux côtés du vice-président du gouvernement espagnol et ministre de l’Intérieur, Alfredo Perez Rubalcaba, comme «l’homme fort du gouvernement», selon «Vanity Fair».