-
81ème anniversaire de la présentation du Manifeste de l'Indépendance : Une étape lumineuse dans la lutte nationale pour l'indépendance
-
Abderrahim Chahid : Les propositions soulevées lors de cette rencontre, nous les porterons devant le gouvernement à travers des initiatives législatives
-
Réunions des commissions administratives chargées de la révision des listes électorales générales et des listes électorales relatives aux Chambres professionnelles au titre de 2025
-
La FDT salue l’ouverture du gouvernement sur ses propositions de révisions du projet de loi relatif au droit de grève
-
Des sénateurs français "impressionnés" par le développement des provinces du Sud du Royaume
Dès le début de cette édition, le 2 septembre, 12 compagnies se sont produites aux complexes culturels Moulay Rachid, Sidi Belyout et Hassan Skalli et ont fait presque salle comble. Le public a pu découvrir des talents venus tout spécialement d’Espagne, de la Croatie, d’Algérie, de Tunis, d’Italie et des Pays-Bas.
Ainsi, le public casablancais avait pu apprécier les pièces « Folie et fantaisie » de l’Atelier Théâtre de l’ENCG Casablanca, « Barrel and love » de l’atelier dramaturgie de la Faculté des lettres et des sciences humaines Ben M’Sick, «The viewer sentenced to death » de Teatr Daha Wassa, « Quai Ouest » de la troupe Territoire, « Yuva » du Club théâtral universitaire de l’Université Mohamed Kheider Biskra, « Dehliz » de l’Université Ibn Rachik Kairouan, « Université Ibn Rachik Kairouan » de la troupe Deuende d’Espagne, et « Emigrados », de la Royal Escuela Superior de Arte dramatico de Madrid.
Placée sous le signe de l'échange culturel, cette 23ème édition a été marquée par de grands moments, et présage de nouvelles perspectives pour le théâtre universitaire.
Du côté des organisateurs, cet intense moment consacré à la création théâtrale universitaire est un instant privilégié pour faire de belles découvertes. Il met à l'honneur le théâtre universitaire dans tout ce qu'il a de plus précieux : la recherche, l'expérimentation de nouvelles formes scénographiques et d'interprétation, etc. Il contribue à combler d’abord le « vide culturel et artistique » que connaît la vie universitaire à Casablanca et enraciner, la pratique théâtrale et globalement artistique chez les étudiants. Le FITUC semble donc bien parti pour réussir son pari.