-
Mondial-2024 de futsal. Hicham Dguig: Nous avons confirmé notre rang mondial
-
Mondial-2024 de futsal: Le parcours de l’EN prend fin au stade des quarts
-
14ème Coupe du monde de kitesurf et 3ème de wingfoil à Dakhla
-
Le choc AS FAR-RSB débouche sur un score de parité
-
Botola Pro D1 : Premier carton de la saison du Wydad
A ce propos, l’équipe nationale olympique devra entrer dès le début de la semaine prochaine en concentration au Centre national de football de Maâmora en vue de préparer le dernier tour des éliminatoires de la CAN des moins de 23 ans. Une échéance de laquelle le football national n’est pas exclu tout comme d’ailleurs les Coupes africaines des clubs qui verront pour cette édition 2015 l’engagement de pas moins de 4 formations, en l’occurrence le Moghreb de Tétouan et le Raja en Ligue des champions, ainsi que le FUS de Rabat et la Renaissance de Berkane en Coupe de la CAF.
Autre signe réconfortant est que l’équipe nationale première, certes disqualifiée des phases finales de la CAF, ne sera pas au chômage pour une longue durée, puisque dès mars prochain, elle retrouvera le chemin des stades avec un match test qui coïncide avec une date FIFA contre l’Uruguay à Agadir. Une rencontre de mise en jambe et de préparation pour les prochaines échéances officielles, avec en tête les éliminatoires du Mondial FIFA 2018 en Russie qui débuteront en octobre prochain.
Il faut dire que le Maroc et la CAF ont plus que jamais intérêt à trouver un terrain d’entente pour que ce différend de la CAN 2015 relève du passé. Une solution avec les moindres dégâts pour les deux parties, et la Confédération africaine est consciente que sa position après l’édition équato-guinéenne ne ressemble en rien à ce qu’elle était avant le tournoi. L’instance africaine, dirigée par Issa Hayatou, n’est pas près d’entrer en conflit avec le Maroc, plus ou moins avec l’Algérie de Raouraoua, au moment où le ton est monté de plus d’un cran avec la Tunisie, suite au scandale d’arbitrage dont avait été victime la sélection tunisienne contre le pays hôte au tour des quarts de finale de la CAN.
Les Tunisiens n’y sont pas allés de main morte en fustigeant la CAF qui a réclamé des excuses que la Fédération tunisienne refuse de présenter mais demande en revanche l’ouverture d’une enquête afin de jeter la lumière sur tous les à-côtés de l’arbitrage du Mauricien Seechurn Rajindrapasard.
Pour revenir à la partie marocaine, il y a lieu de reconnaître qu’il n’ a jamais été question d’annulation des phases finales de la CAN 2015, mais de report de l’édition, à cause du danger de propagation du virus Ebola. Entre annulation et report, il y a une sacrée différence et les personnes qui se chargent du dossier marocain avaient tonné à maintes reprises qu’elles pourraient recourir au Tribunal arbitral du sport (TAS) si la sanction affectait outre mesure le football national.