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Cette conférence qui a pour objectif principal l'adoption de la Charte internationale de l'énergie, en tant que mise à jour de la Charte européenne de l'énergie, signée le 17 décembre 1991, par les représentants des pays signataires de la Charte européenne de l'énergie mais aussi des non-signataires de cette dernière.
Le Maroc, premier pays africain signataire de la Charte internationale de l'énergie, a participé tout au long de l'année 2014 aux efforts d'actualisation de cette charte. L'un des sujets majeurs débattus lors de cette rencontre internationale qui s'inscrit dans le sillage de la Conférence de La Haye sur la Charte européenne de l'énergie (17 décembre 1991), serait le volume des investissements nécessaires actuellement et dans les prochaines années pour permettre aux marchés de répondre aux besoins en énergie efficacement.
Les pays signataires concernés s'engagent à "établir un développement durable de l'énergie, renforçant la sécurité énergétique et maximisant l'efficacité de la production, de la transformation, du transport, de la distribution et de l'utilisation de l'énergie, afin de renforcer cette sécurité d'une façon à la fois acceptable sur le plan social, économiquement viable, et respectueuse de l'environnement", selon la version finale de la charte. Cette charte ambitionne également de garantir le développement des ressources énergétiques, la facilitation de l'accès aux marchés de l'énergie, la libéralisation des échanges dans le secteur, la promotion et la protection des investissements, le développement du transfert des technologies et l'innovation mais aussi l'efficacité énergétique tout en préservant l'environnement.
Aussi, il est à signaler qu’aujourd’hui des rencontres d'affaires de haut niveau devaient avoir lieu, et au cours desquelles les représentants des pays participants et les dirigeants des entreprises internationales spécialisées dans l'énergie échangeront leurs points de vue.