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Déplorant des relations économiques en deçà des potentialités existantes et qui placent le Portugal comme 13ème client du Royaume, M. El Alamy a rappelé que les deux pays ont convenu de redoubler d'efforts, aussi bien au niveau des pouvoirs publics que des opérateurs privés, pour impulser un saut aussi bien qualitatif que quantitatif à leur partenariat.
Et de souligner dans ce sens que le Maroc, vu sa triple identité africaine, arabe et méditerranéenne, offre l'avantage d'être pour le Portugal et à ses entreprises, une plateforme régionale technologique, financière, de production et d'exportation de plus en plus compétitive.
Il a de même noté que le Royaume est le 2ème investisseur africain au niveau continental à travers de grandes sociétés œuvrant dans différents secteurs (télécoms, banques, mines, construction et habitat, eau et électricité, gestion des ports, etc.) et qui sont présentes dans plusieurs Etats subsahariens.
Intervenant pour sa part, le vice-Premier ministre portugais, Paulo Portas, a plaidé pour le renforcement des échanges commerciaux et d'investissements entre les deux pays voisins et de franchir la barre d'un milliard d'euros en termes d'échanges.
Il a de même exprimé la volonté de son pays de voir les entreprises portugaises présentes dans les projets phares et au niveau des plans de développement lancés du Maroc et qui "sont assez intéressants".
Placé sous le signe "Maroc-Portugal, pour une croissance partagée", le Forum économique est organisé par la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et la Confédération des entreprises du Portugal (CIP) et l'Agence pour l'investissement et le commerce extérieur du Portugal (AICEP).
Les travaux de cette rencontre marquée par la participation d'une importante délégation ministérielle marocaine, ont été sanctionnés par la signature de onze accords embrassant différents secteurs stratégiques pour les deux parties notamment la sécurité, l'énergie, le transport maritime, le tourisme, la formation et la recherche scientifique.