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La Fédération mondiale de football (FIFA) a annoncé, mercredi, avoir suspendu le processus de candidature pour la Coupe du monde 2026, en plein scandale judiciaire qui éclabousse l'instance pour des soupçons de corruption.
"Il a été décidé de suspendre le processus administratif de candidature pour la Coupe du monde 2026 en raison de la situation actuelle", a indiqué la FIFA dans un communiqué, expliquant que des décisions liées à la compétition "seront discutées lors d'un prochain comité exécutif".
Le choix du pays hôte du Mondial 2026 avait été programmé lors d'un congrès de la Fédération internationale à Kuala Lumpur en 2017, selon de précédents propos de son secrétaire général, Jérôme Valcke, mis en cause la semaine dernière dans une affaire de corruption.
La justice américaine a inculpé 14 responsables et partenaires de la fédération pour de sérieux soupçons de corruption liés notamment à l'attribution d'organisation de Coupes du monde. Cette procédure pénale a poussé le président de la FIFA, le Suisse Joseph Blatter, à annoncer sa démission il y a une semaine.
En début de semaine, le chef du comité d'audit de l'instance dirigeante du football mondial, Domenico Scala, avait affirmé que l'attribution des Coupes du monde 2018 et 2022 "pourrait être remise en cause et même invalidée s'il y a suffisamment de preuves".
Dans une déclaration à la presse, M. Scala a précisé que "toute invalidation de ces Mondiaux prévus respectivement en Russie et au Qatar nécessite de bien établir que leur attribution a résulté uniquement de l'achat de voix".
La Russie et le Qatar se sont toujours défendus d'avoir eu recours à un quelconque achat de voix pour avoir l'honneur d'accueillir la plus importante compétition mondiale de football.
A l'origine des enquêtes judiciaires en cours, les autorités américaines enquêtent sur le versement de pots-de-vin et de commissions d'un montant total de 150 millions de dollars impliquant des membres et des hauts cadres de la fédération.
"Il a été décidé de suspendre le processus administratif de candidature pour la Coupe du monde 2026 en raison de la situation actuelle", a indiqué la FIFA dans un communiqué, expliquant que des décisions liées à la compétition "seront discutées lors d'un prochain comité exécutif".
Le choix du pays hôte du Mondial 2026 avait été programmé lors d'un congrès de la Fédération internationale à Kuala Lumpur en 2017, selon de précédents propos de son secrétaire général, Jérôme Valcke, mis en cause la semaine dernière dans une affaire de corruption.
La justice américaine a inculpé 14 responsables et partenaires de la fédération pour de sérieux soupçons de corruption liés notamment à l'attribution d'organisation de Coupes du monde. Cette procédure pénale a poussé le président de la FIFA, le Suisse Joseph Blatter, à annoncer sa démission il y a une semaine.
En début de semaine, le chef du comité d'audit de l'instance dirigeante du football mondial, Domenico Scala, avait affirmé que l'attribution des Coupes du monde 2018 et 2022 "pourrait être remise en cause et même invalidée s'il y a suffisamment de preuves".
Dans une déclaration à la presse, M. Scala a précisé que "toute invalidation de ces Mondiaux prévus respectivement en Russie et au Qatar nécessite de bien établir que leur attribution a résulté uniquement de l'achat de voix".
La Russie et le Qatar se sont toujours défendus d'avoir eu recours à un quelconque achat de voix pour avoir l'honneur d'accueillir la plus importante compétition mondiale de football.
A l'origine des enquêtes judiciaires en cours, les autorités américaines enquêtent sur le versement de pots-de-vin et de commissions d'un montant total de 150 millions de dollars impliquant des membres et des hauts cadres de la fédération.
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