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L’image est un peu triste. En 2014, les ventes d’appareils photo numériques ont chuté de 25 % en France. Mais « cheese » : celles des appareils hybrides (ou «compacts à objectifs interchangeables») ont progressé et vont continuer de le faire cette année. Selon le cabinet GfK, il s’en est vendu 113.000 l’an passé, et on attend 120.000 ventes en 2015. Dans ce contexte, les constructeurs sortent leurs pépites : X-T10 chez Fujifilm, NX500 chez Samsung, EOS M chez Canon, OM-D E-M5 chez Olympus, A5100 chez Sony, GM5 chez Panasonic, Nikon 1 J5 chez Nikon…ticket d’entrée pour le photographe : 500 euros environ, d’où un certain empressement des marques à créer de la valeur autour de leurs produits.
«Les hybrides sont matures techniquement et offrent des avantages d’usage sur lesquels les reflex ont du mal à argumenter», note Arnaud Pézeron, directeur marketing d’Olympus France. Outre la qualité d’image, les arguments en question sont avant tout le poids et l’encombrement réduits. De quoi séduire une cible rajeunie : selon Panasonic, les hommes (60 % des acheteurs) et les femmes (40 %) âgés de 25 à 45 ans constituent le noyau dur des aficionados d’hybrides. Dans leur quête, ces photographes cultivant les belles images se laissent aussi séduire par un argument marketing qui fait mouche : le design vintage des hybrides. Ainsi, à l’image du GM5 de Panasonic, on croirait certains modèles tout droit sortis du sac photo poussiéreux de nos parents. « Les gens ont besoin d’une vraie différenciation face aux Smartphones slim et sans réglage apparents», justifie Romain Chollet, directeur de la communication de Panasonic France. Selon lui, nous serions à la recherche d’un « retour aux sources, à l’authenticité, aux origines de la photo ». Ce qui n’empêche pas les hybrides d’être au top de la technicité, avec des équipements qui, derrière leur look néo-rétro, peuvent être aussi simples d’usage qu’hyper pointus techniquement. Faire du neuf avec du vieux ? Une recette qui, une fois de plus avec les hybrides, semble vouloir payer…
«Les hybrides sont matures techniquement et offrent des avantages d’usage sur lesquels les reflex ont du mal à argumenter», note Arnaud Pézeron, directeur marketing d’Olympus France. Outre la qualité d’image, les arguments en question sont avant tout le poids et l’encombrement réduits. De quoi séduire une cible rajeunie : selon Panasonic, les hommes (60 % des acheteurs) et les femmes (40 %) âgés de 25 à 45 ans constituent le noyau dur des aficionados d’hybrides. Dans leur quête, ces photographes cultivant les belles images se laissent aussi séduire par un argument marketing qui fait mouche : le design vintage des hybrides. Ainsi, à l’image du GM5 de Panasonic, on croirait certains modèles tout droit sortis du sac photo poussiéreux de nos parents. « Les gens ont besoin d’une vraie différenciation face aux Smartphones slim et sans réglage apparents», justifie Romain Chollet, directeur de la communication de Panasonic France. Selon lui, nous serions à la recherche d’un « retour aux sources, à l’authenticité, aux origines de la photo ». Ce qui n’empêche pas les hybrides d’être au top de la technicité, avec des équipements qui, derrière leur look néo-rétro, peuvent être aussi simples d’usage qu’hyper pointus techniquement. Faire du neuf avec du vieux ? Une recette qui, une fois de plus avec les hybrides, semble vouloir payer…