-
Le bateau-musée Art Explora, l’Odyssée culturelle qui brise les frontières
-
Rabat à l’heure des 2èmes Assises des industries culturelles et créatives
-
Troisième Festival national des arts patrimoniaux à El Kelaâ des Sraghna
-
L’initiative "Years of Culture" dévoile le programme d’automne de l’année culturelle "Qatar-Maroc 2024"
Deux jours après être sorti de prison pour possession de cannabis aux Bahamas, le président Jimmy Carter invite Willie Nelson à dîner à la Maison Blanche pour le remercier de son soutien pendant la campagne de 1976. Après le repas, Willie Nelson raconte qu'un «intime de la Maison Blanche» l'invite à monter sur le toit pour profiter de la vue sur Washington. Et cette personne, dont le chanteur ne précise pas l'identité, sort un joint. «Fumer un joint sur le toit de la Maison Blanche, ça fait réfléchir», écrit Willie Nelson, 82 ans, dans son autobiographie «It's A Long Story» (C'est une longue histoire).
«Certaines questions d'ordre philosophique viennent à l'esprit, du genre: «Mais putain, comment est-ce que je me suis retrouvé ici », poursuit-il. Willie Nelson dit préférer largement le cannabis à l'alcool «parce que le cannabis ne m'a jamais trahi. A l'inverse de l'alcool, il ne m'a jamais rendu méchant ou violent».
Willie Nelson, qui porte encore volontiers ses longs cheveux gris en nattes, est l'un des derniers géants encore vivants de la tradition américaine de la folk teintée de country, dans la lignée du défunt Johnny Cash.