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Toutefois, la pandémie de Covid-19 ne lui permet plus de voyager et de collecter les fonds sur lesquels il a pris l’habitude de prélever les montants qu’il versait aux différents interlocuteurs corrompus dont regorge la prétendue administration de Rabouni. De cela, les deux directeurs, exceptionnellement voraces, ne veulent pas entendre parler et continuent d’arnaquer le pauvre handicapé.
Dans un enregistrement rendu public, il déclare avoir reçu des menaces de la part de Mohamed Brih, directeur de cabinet du prétendu ministre, et de son autre persécuteur. Les deux hommes menaçaient, en effet, Alouate de le tuer et de le découper en petits morceaux avant de le jeter en pâture aux nombreux chiens de Rabouni. Dans cet enregistrement sonore, on entend Brih lui dire : «Si tu as peur de retourner dans les «territoires occupés» où tu seras soumis à l’emprisonnement, à l’oppression, à la torture et aux traitements inhumains, ce n’est rien comparé à ce je te réserve si tu ne me verses pas la somme que je te demande».
Dans cet enregistrement, le prétendu directeur de cabinet fait allusion au fait que le handicapé habitait à Laâyoune où il avait fondé son association, qui menait plusieurs activités apportant de l’aide aux handicapés de la ville.
L’associatif dénonce le comportement du patron de la police et celui de ses maîtres-chanteurs qui devraient normalement veiller à la sécurité des citoyens et au respect de leurs droits, au lieu de les persécuter et de les menacer de torture et de mort.
Alouate se demande jusqu’à quand la direction du Polisario continuera-t-elle, non seulement à fermer les yeux sur ce genre de tortionnaires, mais également à leur offrir des postes de responsabilité leur permettant de commettre les pires violations des droits de l’Homme.
Ces dénonciations faites par un défenseur des droits de l’Homme qui, de surcroît, est un handicapé, coïncident avec l’annonce par l’APS de la création par le Polisario d’un soi-disant mécanisme de coordination de l'action en matière des droits humains.
En effet, les accusations d'Alouate viennent étayer les dénonciations en série des violations des droits de l’Homme dans les camps de Lahmada, et après que le Haut commissariat aux droits de l’Homme de l’ONU a confirmé la responsabilité d’Alger dans ces violations perpétrées sur son territoire.
L’Algérie et le Polisario tentent ainsi une esquive en dotant le Polisario d’un prétendu «mécanisme de défense des droits de l’Homme», une nouvelle manœuvre à laquelle l’Agence de presse officielle algérienne, APS, a consacré, mercredi 26 août, une dépêche la qualifiant de décision importante du Polisario.
L'agence de propagande algérienne a sciemment évité de rappeler que le séparatiste en chef, Brahim Ghali, et son soi-disant premier ministre ont ordonné ou commis un nombre incalculable d'exactions, de meurtres, et de violations des droits humains à Tindouf.
Il est clair que ce nouvel instrument de propagande reflète l’échec patent de la diplomatie algérienne, qui a vainement tenté ces dernières années de faire des droits de l’Homme son cheval de bataille contre le Maroc. Ainsi, après avoir échoué à étendre les prérogatives de la MINURSO aux droits de l’Homme dans les provinces du Sud du Maroc, le régime algérien ordonne aujourd’hui à son pantin de créer un énième mécanisme de nature à redonner vie à sa stratégie de balkanisation du Maghreb et de lutte contre la souveraineté et l'intégrité territoriale de notre pays.
Les séparatistes exaspérés par le projet de mise sur pied d'une centrale solaire à El Argoub
Rappelons que l’étude d’impact environnemental de la future centrale solaire d’El Argoub avait été réalisée en août 2019. Elle constituera le troisième projet réalisé dans nos provinces sahariennes après celui de «Noor Laâyoune» d’une capacité de 80 MW et celui de «Noor Boujdour » (20 MW) et qui sont opérationnels depuis 2018.
Tout cela n’est pas du goût des généraux algériens qui ont donné instruction à leur valet, le Polisario, d’exprimer leur inquiétude par voie interposée au sujet de ce projet.
A.E.K