-
Le bateau-musée Art Explora, l’Odyssée culturelle qui brise les frontières
-
Rabat à l’heure des 2èmes Assises des industries culturelles et créatives
-
Troisième Festival national des arts patrimoniaux à El Kelaâ des Sraghna
-
L’initiative "Years of Culture" dévoile le programme d’automne de l’année culturelle "Qatar-Maroc 2024"
Pour Gérard Depardieu, c'est plutôt la nostalgie d’une époque qu’il évoque. « Avant d’être acteur, le Festival de Cannes, je l’ai d’abord connu comme plagiste. De la plage, je trouvais ça magnifique. Et le soir j’entrais dans les fêtes comme si j’en sortais, avec un aplomb incroyable. Personne ne m’a jamais empêché. Je suis toujours entré. Devenu acteur, je me suis beaucoup amusé avec les cinéastes italiens venus à Cannes. Les Ferreri, Bertolucci, Scola, Pasolini, Comencini… Grâce à eux, il y avait quasiment un scandale à chaque festival », confie-t-il. Plus loin il dénonce le Festival de Cannes d’aujourd’hui en déclarant : « Ce n’était pas une époque médiocre comme aujourd’hui, une époque dont on ne parlera même plus dans cent ans. C’était avant le triomphe et l’omniprésence de la télé à Cannes, des yachts, des fausses fêtes, des mauvaises drogues et du règne de joailliers sponsors au bout du rouleau. Je suis fatigué de tant de bêtises… Mais le véritable acteur est sans doute celui qui ne contrôle rien».