-
Réunion à New York du Présidium de l'IS
-
A l’opposé de leurs homologues en médecine, les étudiants en pharmacie lâchent du lest: La matraque comme argument du gouvernement
-
Abdelali Dakkina : Le Maroc, un leader régional en matière de réduction des polluants climatiques de courte durée de vie
-
La Papouasie-Nouvelle-Guinée réaffirme son soutien à la souveraineté du Maroc et au plan d’autonomie
-
Le Danemark considère le plan d’autonomie comme une contribution sérieuse et crédible
La candidate de la France a obtenu 30 voix sur les 58 que compte le Conseil exécutif contre 28 voix pour son rival Hamad bin Abdulaziz Al-Kawari (Qatar).
Sa désignation à ce poste doit être soumise à l’approbation des 195 Etats membres de l’UNESCO le 10 novembre, lors de la 39ème session de la Conférence générale de l’Organisation qui se réunira du 30 octobre au 14 novembre.
La nouvelle DG de l'UNESCO, qui succédera à la Bulgare Irina Bokova après deux mandats de quatre ans à la tête de l’Organisation, entrera en fonction le 15 novembre.
Née en 1972, Audrey Azoulay a occupé entre février 2016 et mai 2017 le poste de ministre de la Culture et de la Communication dans le gouvernement français.
Ancienne élève de l’Ecole nationale d’administration, Audrey Azoulay est diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris (1996) et titulaire d’un Master of Business Administration (Lancaster University, Grande-Bretagne, 1993).
En septembre 2014, elle a été nommée conseillère culture auprès de l’ancien président de la République française François Hollande.
Le directeur général de cette organisation onusienne est désigné initialement pour une période de quatre ans, et peut être nommé pour un second mandat de quatre ans, au terme duquel il n'est plus rééligible.
Outre Audrey Azoulay et M. Al-Kawari, cinq autres candidats étaient en lice pour le poste de directeur général de l'UNESCO, à savoir Polad Bulbuloglu (Azerbaïdjan), Pham Sanh Chau (Vietnam), Moushira Khattab (Egypte), Qian Tang (Chine) et Vera El-Khoury lacoeuilhe (Liban).