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Pour les tranches A et C, elles sont soumises à un taux d’intérêt fixe, 2,99% augmenté d’une prime de risque comprise entre 60 et 70 points de base (pdb), soit entre 3,59% et 3,69%, rapporte la MAP. Les deux autres tranches (B et D) sont, pour leur part, soumises à un taux révisable annuellement, 2,27% augmenté d’une prime de risque comprise entre 55 et 65 pdb, soit entre 2,82% et 2,92% pour la première année.
Le mode d’allocation retenu est celui d’adjudication à la française avec priorité aux tranches A et C (taux fixe), tandis que la période de souscription s’étalera du 19 au 21 décembre 2017 inclus, précise le régulateur du marché des capitaux. La présente émission obligataire a pour objectif principal de renforcer les fonds propres réglementaires actuels de la banque et, par conséquent, renforcer son ratio de solvabilité, outre le financement de son développement international et domestique, souligne Attijariwafa bank dans la note d’information relative à l’opération.
En effet, le Groupe poursuit la mise en place de sa stratégie de développement sur le marché domestique en développant la bancarisation, le financement des grands projets du Royaume et le financement du retail par les crédits acquéreurs et l’équipement des ménages, relève la même source. A l’international, Attijariwafa bank poursuit le renforcement de sa présence au Maghreb et le développement des activités en Afrique Centrale et Occidentale, outre le lancement de la 2ème étape de développement africain à travers l’implantation dans certains pays anglophones à fort potentiel, a-t-elle ajouté.
L’obligation subordonnée se distingue de l’obligation classique en raison du rang de créance contractuellement défini par la clause de subordination. L’effet de cette clause de subordination étant de conditionner en cas de liquidation de l’émetteur le remboursement de l’obligation au désintéressement de tous les créanciers privilégiés ou chirographaires.