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La capacité bénéficiaire de la cote casablancaise s'est établie à 32,9 milliards de dirhams (MMDH) en 2023, en hausse de 15,1% par rapport à 2022, selon BMCE Capital Global Research (BKGR).
Cette évolution s'explique par l'appréciation de 21,3% du résultat net part du groupe (RNPG) des financières à 15,6 MMDH et de la progression de 10,1% du Bottom line des industries à 15,6 MMDH, porté notamment par des éléments non courants, indique BKGR dans sa publication "Earnings FY 2023".
Retraité des éléments exceptionnels, notamment l'astreinte imposée par l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) de 2,45 MMDH, le contrôle fiscal d'IAM de 618 millions de dirhams (MDH) comptabilisé en 2022, la provision de 345 MDH en net relative à l'affaire WANA et les dons au fonds spécial de gestion des effets du séisme, le RNPG global aurait tout de même progressé de 9,5%, fait savoir la même source.
Concernant le RNPG des sociétés industrielles, il s'est chiffré à 15,6 MMDH, tiré par l'effet mécanique de la non-récurrence de l'astreinte de l'ANRT et du contrôle fiscal d'IAM. Hors impact de ces éléments non courants enregistrés en 2022, la capacité bénéficiaire des industries se serait dépréciée de 9,5%, rapporte la MAP.
Retraité également des éléments exceptionnels comptabilisées en 2023, notamment la provision relative à l'affaire WANA et les contributions des sociétés industrielles au Fonds spécial de gestion des effets du séisme, le Bottom line aurait reculé de 2,6% à 16,8 MMDH.
Parallèlement, BKGR indique que l'analyse du breakdown de l'évolution de la capacité bénéficiaire en 2023 fait ressortir une contribution positive provenant à hauteur de 42% de la performance des banques drivée par le bon comportement du PNB (produit net bancaire) ayant compensé la forte hausse du coût du risque, et de 39% du secteur des télécoms suite à la non-récurrence de la provision sur l'amende ANRT.
En revanche, la contribution négative provient à hauteur de 46% des résultats des minières suite à la combinaison de divers éléments défavorables (effets prix, volume et périmètre) et de 23% du ralentissement du secteur des "gaz".
BKGR souligne aussi que 40 sociétés, représentant 80% de la capitalisation boursière totale, affichent en 2023 une capacité bénéficiaire en amélioration, contre 28 compagnies en baisse.
Cette évolution s'explique par l'appréciation de 21,3% du résultat net part du groupe (RNPG) des financières à 15,6 MMDH et de la progression de 10,1% du Bottom line des industries à 15,6 MMDH, porté notamment par des éléments non courants, indique BKGR dans sa publication "Earnings FY 2023".
Retraité des éléments exceptionnels, notamment l'astreinte imposée par l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) de 2,45 MMDH, le contrôle fiscal d'IAM de 618 millions de dirhams (MDH) comptabilisé en 2022, la provision de 345 MDH en net relative à l'affaire WANA et les dons au fonds spécial de gestion des effets du séisme, le RNPG global aurait tout de même progressé de 9,5%, fait savoir la même source.
Concernant le RNPG des sociétés industrielles, il s'est chiffré à 15,6 MMDH, tiré par l'effet mécanique de la non-récurrence de l'astreinte de l'ANRT et du contrôle fiscal d'IAM. Hors impact de ces éléments non courants enregistrés en 2022, la capacité bénéficiaire des industries se serait dépréciée de 9,5%, rapporte la MAP.
Retraité également des éléments exceptionnels comptabilisées en 2023, notamment la provision relative à l'affaire WANA et les contributions des sociétés industrielles au Fonds spécial de gestion des effets du séisme, le Bottom line aurait reculé de 2,6% à 16,8 MMDH.
Parallèlement, BKGR indique que l'analyse du breakdown de l'évolution de la capacité bénéficiaire en 2023 fait ressortir une contribution positive provenant à hauteur de 42% de la performance des banques drivée par le bon comportement du PNB (produit net bancaire) ayant compensé la forte hausse du coût du risque, et de 39% du secteur des télécoms suite à la non-récurrence de la provision sur l'amende ANRT.
En revanche, la contribution négative provient à hauteur de 46% des résultats des minières suite à la combinaison de divers éléments défavorables (effets prix, volume et périmètre) et de 23% du ralentissement du secteur des "gaz".
BKGR souligne aussi que 40 sociétés, représentant 80% de la capitalisation boursière totale, affichent en 2023 une capacité bénéficiaire en amélioration, contre 28 compagnies en baisse.