Les concerts-fusions, prévus lors de la 25ème édition du Festival Gnaoua et musiques du monde, qui se tiendra du 27 au 29 juin à Essaouira, promettent d’enflammer les scènes, selon les organisateurs.
"Avec 25 années au compteur, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira continue de gagner en notoriété sur la scène musicale mondiale. C’est parce que ce festival pas comme les autres se distingue par son concept unique de fusions inédites", indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Faire fusionner les rythmes Gnaoua avec des musiques en provenance du monde entier, c’est cette idée singulière qui a été à l’origine de la création du Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira, ont-ils précisé, notant que dès le départ, le Festival s’est affirmé comme un laboratoire musical à ciel ouvert, qui accueille, chaque année, les expérimentations les plus audacieuses, les plus improbables, pour le grand bonheur des mélomanes et des festivaliers en quête de sonorités inédites et d’une expérience unique.
Cette année, à l’occasion de la célébration de la 25ème édition du Festival, en plus du concert d’ouverture qui est une création inédite, cinq concerts de fusion sont proposés, avec des talents venus d’Afrique du Sud, d’Espagne, des Etats-Unis, de France, du Mali et du Sénégal, pour se confronter aux Maâlems Gnaoua, devenus maîtres dans l’art de mêler leur répertoire à ceux des musiciens du monde.
L’universel au pluriel : Maâlem Mohamed Kouyou, Rhani Krija, Guimba Kouyaté, Jon Grandcamp, Kike Perdomo, Mehdi Chaib et Hbs Trumpet (Maroc, Mali, Espagne, France)
Après une performance explosive lors du concert d’ouverture, Mohamed Kouyou s’apprête à récidiver à l’occasion de ce nouveau concert, fruit d’une résidence où la rigueur et l’audace vont de pair. Et pour cause, la performance de deux percussionnistes de génie : le Marocain Rhani Krija, qui tutoie des stars telles que Sting, Herbie Hancock ou Al Di Meola, et le Français Jon Grandcamp qui puise son inspiration dans la musique africaine, la soul et le funk, qui s'ajoute au jeu ascétique du trompettiste HBS Trumpet, aux mélodies lancinantes du saxo de Kike Perdomo et enfin du surdoué de la guitare électrique, le malien Guimba Kouyaté qui va donner corps à un dialogue entre des affluents artistiques et culturels qui s’écoutent, échangent, fusionnent et nous émerveillent.
Souffle d'Afrique: Maâlem Abdelmalek El Kadiri et Alune Wade (Maroc, Sénégal)
C’est la rencontre entre deux talents d’exception. Le premier, Alune Wade, est un habitué des collaborations prestigieuses : Youssou N’dour, Cheick Tidiane Seck, Bobby McFerrin, Joe Zawinul, Aziz Sahmaoui, ou encore Marcus Miller. Virtuose sénégalais de la basse, compositeur et chanteur, Alune Wade croisera ses notes avec le jeune Maâlem Abdelmalek El Kadiri, fils spirituel des plus grands maîtres Gnaoua tels que Maâlem Abdallah Guinea, Maâlem Abderrahman Paca, Maâlem Cherif Regragui et bien d’autres.
Encore et toujours: Abaye Cissoko et Mehdi Qamoum (Maroc, Sénégal)
C’est probablement l’un des meilleurs joueurs de Kora au monde. Avec son jeu musical limpide et moderne, Ablaye Cissoko fait partie de la nouvelle génération d’artistes sénégalais incarnant la rencontre entre les traditions mandingues et la création musicale contemporaine. Mehdi Qamoum puise dans ses racines et dans la richesse du patrimoine musical de son pays : Gnaoua, Houara, Isemgan, Reggada, Daqqa merrakchiya ... se retrouvent propulsés vers la modernité grâce à son guembri électrique. Une conversation musicale entre deux artistes authentiques et actuels.
Haute intensité: Maâlem Tariq Aït Hmitti et BCUC
Héritier du clan «Hmitti», Tariq fait partie de cette nouvelle génération d’artistes nourris à la tradition Gnaoua mais très ouverts à l’innovation et aux autres formes de musique à travers des fusions entre la musique Gnaoua et autres rythmes occidentaux, comme la musique électro sur laquelle il travaille depuis 2011. Pour cette édition, il se confronte à une véritable bombe musicale, le groupe sud-africain BCUC. Entre sonorités africaines, Soul, Punk Rock… Un concert qui promet d’être d’une intensité rare.
Connexions Outre-Atlantique Maâlem Hamid El Kasri et Bokanté (Maroc, Etats-Unis)
La rencontre entre Hamid El Kasri et Bokanté sonne comme une évidence. Deux artistes aux performances vocales exceptionnelles (Hamid El Kasri et Malika Tirolien), une instrumentation atypique qui explore la richesse des sonorités créoles et la profondeur spirituelle de la musique Gnaoua. En 2018, Hamid El Kasri ouvrait le bal du Festival en fusion avec le célèbre groupe de Jam Jazz basé à Brooklyn, les Snarky Puppy. Ce même groupe dont le directeur musical Michael League est l’initiateur du projet Bokanté. Des retrouvailles en famille.
A noter que plus de 400 artistes se produiront lors des 53 concerts prévus au programme du Festival Gnaoua et Musiques du monde, avec une programmation foisonnante et avant-gardiste, qui place les fusions au cœur de son dispositif et propose au public un large éventail de musiques et d’expérimentations sonores originales, conclut le communiqué.
"Avec 25 années au compteur, le Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira continue de gagner en notoriété sur la scène musicale mondiale. C’est parce que ce festival pas comme les autres se distingue par son concept unique de fusions inédites", indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Faire fusionner les rythmes Gnaoua avec des musiques en provenance du monde entier, c’est cette idée singulière qui a été à l’origine de la création du Festival Gnaoua et musiques du monde d’Essaouira, ont-ils précisé, notant que dès le départ, le Festival s’est affirmé comme un laboratoire musical à ciel ouvert, qui accueille, chaque année, les expérimentations les plus audacieuses, les plus improbables, pour le grand bonheur des mélomanes et des festivaliers en quête de sonorités inédites et d’une expérience unique.
Cette année, à l’occasion de la célébration de la 25ème édition du Festival, en plus du concert d’ouverture qui est une création inédite, cinq concerts de fusion sont proposés, avec des talents venus d’Afrique du Sud, d’Espagne, des Etats-Unis, de France, du Mali et du Sénégal, pour se confronter aux Maâlems Gnaoua, devenus maîtres dans l’art de mêler leur répertoire à ceux des musiciens du monde.
L’universel au pluriel : Maâlem Mohamed Kouyou, Rhani Krija, Guimba Kouyaté, Jon Grandcamp, Kike Perdomo, Mehdi Chaib et Hbs Trumpet (Maroc, Mali, Espagne, France)
Après une performance explosive lors du concert d’ouverture, Mohamed Kouyou s’apprête à récidiver à l’occasion de ce nouveau concert, fruit d’une résidence où la rigueur et l’audace vont de pair. Et pour cause, la performance de deux percussionnistes de génie : le Marocain Rhani Krija, qui tutoie des stars telles que Sting, Herbie Hancock ou Al Di Meola, et le Français Jon Grandcamp qui puise son inspiration dans la musique africaine, la soul et le funk, qui s'ajoute au jeu ascétique du trompettiste HBS Trumpet, aux mélodies lancinantes du saxo de Kike Perdomo et enfin du surdoué de la guitare électrique, le malien Guimba Kouyaté qui va donner corps à un dialogue entre des affluents artistiques et culturels qui s’écoutent, échangent, fusionnent et nous émerveillent.
Souffle d'Afrique: Maâlem Abdelmalek El Kadiri et Alune Wade (Maroc, Sénégal)
C’est la rencontre entre deux talents d’exception. Le premier, Alune Wade, est un habitué des collaborations prestigieuses : Youssou N’dour, Cheick Tidiane Seck, Bobby McFerrin, Joe Zawinul, Aziz Sahmaoui, ou encore Marcus Miller. Virtuose sénégalais de la basse, compositeur et chanteur, Alune Wade croisera ses notes avec le jeune Maâlem Abdelmalek El Kadiri, fils spirituel des plus grands maîtres Gnaoua tels que Maâlem Abdallah Guinea, Maâlem Abderrahman Paca, Maâlem Cherif Regragui et bien d’autres.
Encore et toujours: Abaye Cissoko et Mehdi Qamoum (Maroc, Sénégal)
C’est probablement l’un des meilleurs joueurs de Kora au monde. Avec son jeu musical limpide et moderne, Ablaye Cissoko fait partie de la nouvelle génération d’artistes sénégalais incarnant la rencontre entre les traditions mandingues et la création musicale contemporaine. Mehdi Qamoum puise dans ses racines et dans la richesse du patrimoine musical de son pays : Gnaoua, Houara, Isemgan, Reggada, Daqqa merrakchiya ... se retrouvent propulsés vers la modernité grâce à son guembri électrique. Une conversation musicale entre deux artistes authentiques et actuels.
Haute intensité: Maâlem Tariq Aït Hmitti et BCUC
Héritier du clan «Hmitti», Tariq fait partie de cette nouvelle génération d’artistes nourris à la tradition Gnaoua mais très ouverts à l’innovation et aux autres formes de musique à travers des fusions entre la musique Gnaoua et autres rythmes occidentaux, comme la musique électro sur laquelle il travaille depuis 2011. Pour cette édition, il se confronte à une véritable bombe musicale, le groupe sud-africain BCUC. Entre sonorités africaines, Soul, Punk Rock… Un concert qui promet d’être d’une intensité rare.
Connexions Outre-Atlantique Maâlem Hamid El Kasri et Bokanté (Maroc, Etats-Unis)
La rencontre entre Hamid El Kasri et Bokanté sonne comme une évidence. Deux artistes aux performances vocales exceptionnelles (Hamid El Kasri et Malika Tirolien), une instrumentation atypique qui explore la richesse des sonorités créoles et la profondeur spirituelle de la musique Gnaoua. En 2018, Hamid El Kasri ouvrait le bal du Festival en fusion avec le célèbre groupe de Jam Jazz basé à Brooklyn, les Snarky Puppy. Ce même groupe dont le directeur musical Michael League est l’initiateur du projet Bokanté. Des retrouvailles en famille.
A noter que plus de 400 artistes se produiront lors des 53 concerts prévus au programme du Festival Gnaoua et Musiques du monde, avec une programmation foisonnante et avant-gardiste, qui place les fusions au cœur de son dispositif et propose au public un large éventail de musiques et d’expérimentations sonores originales, conclut le communiqué.