L'ensemble Musiqât de Tunisie, dirigé par la joueuse de qanun Khadija El Afrit, a ébloui lundi soir le public de Jnan Sbil à Fès, lors d’un spectacle qui a mis en avant le répertoire du "mâluf" andalou.
Dans le cadre de sa participation à la 27ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, Khadija El Afrit a entraîné un public nombreux dans un voyage musical inédit vers des sonorités orientales interprétées dans un style libre et semi-improvisé.
Au cours du spectacle qui consistait en des interprétations de "l'Istikhbar", le doigté précis de la virtuose El Afrit était accompagné par des rythmes au violon et au tambourin, donnant à ses mélodies un charme et un éclat particuliers.
Ce concert s'est distingué par sa richesse et sa diversité, incluant des envolées spirituelles, des improvisations instrumentales et des chants lyriques.
Dans une déclaration à la MAP, le musicien Naoufel Ben Aissa a indiqué que l'Istikhbar est basé sur des manuscrits datant de la seconde moitié du 19ème siècle, une période où les techniques d'enregistrement n'avaient pas encore été inventées.
M. Ben Aissa, qui est également professeur à l'Institut supérieur de musique de Tunis, a ajouté qu'il a pris l'initiative de rechercher, d'étudier et de traduire ces manuscrits en matériel musical audible, d'autant plus que ce patrimoine immatériel est important par sa richesse et sa symbolique pour la Tunisie et le Maghreb, puisqu'il s'agit du "mâluf", qui est un pur patrimoine andalou.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival se tient du 24 mai au 1er juin prochain sous le thème "La Quête de l’esprit Al-Andalus".
Lors de cette nouvelle édition, l'Espagne a été choisie comme invité d'honneur pour célébrer les liens historiques et présents qui unissent l’Espagne et le Maroc.
La 27ème édition de ce festival, moment privilégié de l'esprit de vivre-ensemble, de dialogue et de tolérance, est marquée par une programmation musicale rassemblant plusieurs artistes et troupes des deux pays qui exprimeront à travers leurs fusions et leurs spectacles cette dimension particulière d’ouverture, d’harmonie et de vivre-ensemble pour un futur meilleur.
Dans le cadre de sa participation à la 27ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, Khadija El Afrit a entraîné un public nombreux dans un voyage musical inédit vers des sonorités orientales interprétées dans un style libre et semi-improvisé.
Au cours du spectacle qui consistait en des interprétations de "l'Istikhbar", le doigté précis de la virtuose El Afrit était accompagné par des rythmes au violon et au tambourin, donnant à ses mélodies un charme et un éclat particuliers.
Ce concert s'est distingué par sa richesse et sa diversité, incluant des envolées spirituelles, des improvisations instrumentales et des chants lyriques.
Dans une déclaration à la MAP, le musicien Naoufel Ben Aissa a indiqué que l'Istikhbar est basé sur des manuscrits datant de la seconde moitié du 19ème siècle, une période où les techniques d'enregistrement n'avaient pas encore été inventées.
M. Ben Aissa, qui est également professeur à l'Institut supérieur de musique de Tunis, a ajouté qu'il a pris l'initiative de rechercher, d'étudier et de traduire ces manuscrits en matériel musical audible, d'autant plus que ce patrimoine immatériel est important par sa richesse et sa symbolique pour la Tunisie et le Maghreb, puisqu'il s'agit du "mâluf", qui est un pur patrimoine andalou.
Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival se tient du 24 mai au 1er juin prochain sous le thème "La Quête de l’esprit Al-Andalus".
Lors de cette nouvelle édition, l'Espagne a été choisie comme invité d'honneur pour célébrer les liens historiques et présents qui unissent l’Espagne et le Maroc.
La 27ème édition de ce festival, moment privilégié de l'esprit de vivre-ensemble, de dialogue et de tolérance, est marquée par une programmation musicale rassemblant plusieurs artistes et troupes des deux pays qui exprimeront à travers leurs fusions et leurs spectacles cette dimension particulière d’ouverture, d’harmonie et de vivre-ensemble pour un futur meilleur.