![Présentation à Rabat du livre "Le plaisir paradoxal : Ecrits sur les arts visuels au Maroc" de Youssef Wahboun Présentation à Rabat du livre "Le plaisir paradoxal : Ecrits sur les arts visuels au Maroc" de Youssef Wahboun](https://www.libe.ma/photo/art/default/86361525-61443051.jpg?v=1739193611)
Le livre "Le plaisir paradoxal : Ecrits sur les arts visuels au Maroc" de l’écrivain et critique d’art Youssef Wahboun a été présenté, vendredi à Rabat, lors d'une rencontre ayant réuni des personnalités issues des sphères artistique et académique.
Dans ce livre de 246 pages, édité par House of Beau, l’écrivain Youssef Wahboun propose un florilège de ses textes de critique d'art, mettant en lumière les œuvres de plusieurs artistes marocains, dont Hassan Hajjaj, Mohamed Hamidi, Amina Rezki, Abderrahim Yamou et Fatiha Zemmouri.
Cet ouvrage, dont la couverture reproduit une capture d’écran d’une vidéo-performance spectaculaire de l’artiste contemporain Youness Atbane, est composé de textes parus dans des journaux et catalogues entre 2012 et 2022, commentant chacun une œuvre de l'histoire de l'art au Maroc, de Mohamed Ben Allal à Abdelkébir Rabii, en passant par Abbas Saladi, Mohamed Kacimi, Radia Bent Lhoucine, Mohamed Aboulouakar et Hassan Slaoui.
Dans une déclaration à la MAP, M. Wahboun a relevé que les critiques d’art sont confrontés au défi "de se mettre au service de l'œuvre en question, et de ne pas se contenter de faire de la simple éloge", notant que "c'est l’œuvre de l'artiste qui doit être mise en valeur".
Il a expliqué qu'une partie importante de son livre est consacrée à des textes qui "agissent directement sur des œuvres d’art, telles que des tableaux, des peintures ou des sculptures issus de l’histoire de l’art au Maroc", soulignant que son livre vient enrichir la scène artistique marocaine d’une publication sur les arts visuels et "attirer l’attention sur l’importance de certaines expériences artistiques qui fleurissent dans notre pays".
Cette rencontre a été marquée par une séance de signature et de dédicace du livre, précédée par un échange entre l’auteur et le public, qui a permis d’approfondir la réflexion sur les thématiques abordées dans l'ouvrage de Youssef Wahboun.
A travers ce livre, l'auteur rend hommage à des figures majeures de l’art marocain, tout en explorant les trajectoires uniques de créateurs comme Mohamed Chabâa ou Farid Belkahia.
Artiste-peintre, écrivain et poète, Youssef Wahboun est notamment l'auteur du roman "Trois jours et Le Néant" et de la suite poétique "Les Hommes meurent mais ne tombent pas", adaptée en pièce de théâtre chorégraphique par la troupe Corpscène. Il est également professeur d'intermédialité et d'histoire de l'art à l'Université Mohammed V de Rabat.
Dans ce livre de 246 pages, édité par House of Beau, l’écrivain Youssef Wahboun propose un florilège de ses textes de critique d'art, mettant en lumière les œuvres de plusieurs artistes marocains, dont Hassan Hajjaj, Mohamed Hamidi, Amina Rezki, Abderrahim Yamou et Fatiha Zemmouri.
Cet ouvrage, dont la couverture reproduit une capture d’écran d’une vidéo-performance spectaculaire de l’artiste contemporain Youness Atbane, est composé de textes parus dans des journaux et catalogues entre 2012 et 2022, commentant chacun une œuvre de l'histoire de l'art au Maroc, de Mohamed Ben Allal à Abdelkébir Rabii, en passant par Abbas Saladi, Mohamed Kacimi, Radia Bent Lhoucine, Mohamed Aboulouakar et Hassan Slaoui.
Dans une déclaration à la MAP, M. Wahboun a relevé que les critiques d’art sont confrontés au défi "de se mettre au service de l'œuvre en question, et de ne pas se contenter de faire de la simple éloge", notant que "c'est l’œuvre de l'artiste qui doit être mise en valeur".
Il a expliqué qu'une partie importante de son livre est consacrée à des textes qui "agissent directement sur des œuvres d’art, telles que des tableaux, des peintures ou des sculptures issus de l’histoire de l’art au Maroc", soulignant que son livre vient enrichir la scène artistique marocaine d’une publication sur les arts visuels et "attirer l’attention sur l’importance de certaines expériences artistiques qui fleurissent dans notre pays".
Cette rencontre a été marquée par une séance de signature et de dédicace du livre, précédée par un échange entre l’auteur et le public, qui a permis d’approfondir la réflexion sur les thématiques abordées dans l'ouvrage de Youssef Wahboun.
A travers ce livre, l'auteur rend hommage à des figures majeures de l’art marocain, tout en explorant les trajectoires uniques de créateurs comme Mohamed Chabâa ou Farid Belkahia.
Artiste-peintre, écrivain et poète, Youssef Wahboun est notamment l'auteur du roman "Trois jours et Le Néant" et de la suite poétique "Les Hommes meurent mais ne tombent pas", adaptée en pièce de théâtre chorégraphique par la troupe Corpscène. Il est également professeur d'intermédialité et d'histoire de l'art à l'Université Mohammed V de Rabat.
Bouillon de culture
Spectacle
L’Institut français de Tanger abrite, le 14 février, le spectacle vivant “Oka” de la compagnie du Porte-voix, dans le cadre du “Festival des tout-petits, comme des grands”.
Entre chants et musiques du monde, ce spectacle nous plongera dans un univers inspiré des peuples amazoniens. Installés sur des îlots vibrants, petits et grands sont plongés dans une expérience immersive, entre sieste musicale et exploration collective.
Chez les amérindiens, les ocas sont des petits îlots de vie humaine au cœur de la forêt amazonienne.
Rencontre
Une rencontre littéraire avec l’auteur M'hamed Lachkar se tiendra, le 18 février, à la Faculté des sciences et techniques (FST) d'Al Hoceima.
Cette rencontre, organisée par le département de gestion et technique d’expression et de communication à la FST d'Al Hoceima, en partenariat avec le laboratoire en sciences de l’information, de la communication et du discours à l’Ecole normale supérieure de Tétouan, sera l'occasion d'échanger avec M. Lachkar autour de son ouvrage "Gertrude Arnall, la boîte postale secrète de Ben Abdelkrim à Tanger".
Exposition
La galerie Mekki Meghara à Tétouan abrite, jusqu’au au 27 février, une exposition de bande dessinée intitulée "Le monde sans fin".
L’exposition, dérivée de l’œuvre "Le monde sans fin", offre une vision captivante de la rencontre entre Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain, explorant leur dialogue engagé sur les thèmes cruciaux de l’énergie et du changement climatique.
Elle examine de manière ludique des sujets qui nous concernent tous, tels que la transition énergétique, tout en abordant les enjeux économiques, écologiques et sociaux, et en proposant des solutions concrètes dans les domaines des énergies non carbonées, de l’alimentation, des transports et de l’urbanisme.
L’exposition, qui incarne l’esprit de l’album à succès "Le monde sans fin", se distingue par son approche humoristique, tout en incitant à la réflexion profonde.
L’Institut français de Tanger abrite, le 14 février, le spectacle vivant “Oka” de la compagnie du Porte-voix, dans le cadre du “Festival des tout-petits, comme des grands”.
Entre chants et musiques du monde, ce spectacle nous plongera dans un univers inspiré des peuples amazoniens. Installés sur des îlots vibrants, petits et grands sont plongés dans une expérience immersive, entre sieste musicale et exploration collective.
Chez les amérindiens, les ocas sont des petits îlots de vie humaine au cœur de la forêt amazonienne.
Rencontre
Une rencontre littéraire avec l’auteur M'hamed Lachkar se tiendra, le 18 février, à la Faculté des sciences et techniques (FST) d'Al Hoceima.
Cette rencontre, organisée par le département de gestion et technique d’expression et de communication à la FST d'Al Hoceima, en partenariat avec le laboratoire en sciences de l’information, de la communication et du discours à l’Ecole normale supérieure de Tétouan, sera l'occasion d'échanger avec M. Lachkar autour de son ouvrage "Gertrude Arnall, la boîte postale secrète de Ben Abdelkrim à Tanger".
Exposition
La galerie Mekki Meghara à Tétouan abrite, jusqu’au au 27 février, une exposition de bande dessinée intitulée "Le monde sans fin".
L’exposition, dérivée de l’œuvre "Le monde sans fin", offre une vision captivante de la rencontre entre Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain, explorant leur dialogue engagé sur les thèmes cruciaux de l’énergie et du changement climatique.
Elle examine de manière ludique des sujets qui nous concernent tous, tels que la transition énergétique, tout en abordant les enjeux économiques, écologiques et sociaux, et en proposant des solutions concrètes dans les domaines des énergies non carbonées, de l’alimentation, des transports et de l’urbanisme.
L’exposition, qui incarne l’esprit de l’album à succès "Le monde sans fin", se distingue par son approche humoristique, tout en incitant à la réflexion profonde.