Autres articles
-
Anciens "parias", les paparazzis devenus essentiels pour Bollywood
-
Riche programme à la première édition des Rencontres cinématographiques de Tamesna
-
Participation du Maroc à la 14e édition du Festival du Louxor pour le film africain
-
Wallace et Gromit font leur retour et ChatGPT n'a qu'à bien se tenir
Le film "Ebullition" (Ghalayane) du réalisateur marocain Mounir Alouan a remporté le Grand prix de la 10ème édition du Festival du cinéma de Benguérir, organisée du 19 au 22 décembre.
Le prix de la meilleure réalisation a été décerné à Saad Al Idrissi pour son film "Fresque" (Jiddariya), alors que le prix du jury a été attribué au film "Cendres" du réalisateur omanais Sulaiman Al-Khalili.
Le prix du meilleur rôle masculin est revenu, quant à lui, à l'acteur Abdel Qayyum Ashimat, tandis que le prix du meilleur rôle féminin a été octroyé à l’actrice Fatima Zahra Ahrar pour son interprétation dans le film marocain "La route inconnue" du réalisateur Abdelkebir Nichan.
Le prix "Mention spéciale" du jury a été accordé ex aequo au film "Daqat zamane" de son réalisateur Mahdi Alami et à l'acteur Haitham Al-Maawali.
Présidé par le réalisateur marocain Hamid Zayan, le jury du court métrage comprenait l'acteur marocain Hicham Bahloul, l'actrice marocaine Sanaa Mouziane, le scénariste et réalisateur omanais Haitham Suleiman, ainsi que le scénariste marocain Lmaghfri Nima.
Dans la catégorie "Films documentaires", le Grand prix du festival a été décerné au film "seau" (Stal) du réalisateur yéménite Adel Mohamed Al Mimi, tandis que le prix de la meilleure réalisation a été attribué à la Tunisienne Hala Al-Barkawi pour le film "Eve".
Le prix de la meilleure photographie est revenu au film "Amrouy" du réalisateur marocain Youssef Bousmo, tandis que la "Mention spéciale" du jury a été attribuée ex aequo aux films "Lignes d'espoir" de son réalisateur marocain Othman Al Akkal, et "La magie des chemins" (sihr dourroub) de sa réalisatrice égyptienne Marwa Al Souri.
Le jury de la catégorie "Film documentaire", présidé par la réalisatrice et productrice marocaine Mariam Ait Belhoucine, comprenait la réalisatrice et productrice marocaine Asmaa Mohamed Al-Moutaki et la journaliste Nadia Abram.
La cérémonie de clôture de cette manifestation artistique a été marquée par un hommage rendu au militant associatif Mustafa Kadari.
Organisée sous le thème "Cinéma entre parole et sagesse", la 10ème édition du Festival du cinéma de Benguérir a aussi rendu hommage à Salman Tarek Alalami, en reconnaissance de son rôle central dans la création du festival et de son engagement envers la culture cinématographique.
Le prix de la meilleure réalisation a été décerné à Saad Al Idrissi pour son film "Fresque" (Jiddariya), alors que le prix du jury a été attribué au film "Cendres" du réalisateur omanais Sulaiman Al-Khalili.
Le prix du meilleur rôle masculin est revenu, quant à lui, à l'acteur Abdel Qayyum Ashimat, tandis que le prix du meilleur rôle féminin a été octroyé à l’actrice Fatima Zahra Ahrar pour son interprétation dans le film marocain "La route inconnue" du réalisateur Abdelkebir Nichan.
Le prix "Mention spéciale" du jury a été accordé ex aequo au film "Daqat zamane" de son réalisateur Mahdi Alami et à l'acteur Haitham Al-Maawali.
Présidé par le réalisateur marocain Hamid Zayan, le jury du court métrage comprenait l'acteur marocain Hicham Bahloul, l'actrice marocaine Sanaa Mouziane, le scénariste et réalisateur omanais Haitham Suleiman, ainsi que le scénariste marocain Lmaghfri Nima.
Dans la catégorie "Films documentaires", le Grand prix du festival a été décerné au film "seau" (Stal) du réalisateur yéménite Adel Mohamed Al Mimi, tandis que le prix de la meilleure réalisation a été attribué à la Tunisienne Hala Al-Barkawi pour le film "Eve".
Le prix de la meilleure photographie est revenu au film "Amrouy" du réalisateur marocain Youssef Bousmo, tandis que la "Mention spéciale" du jury a été attribuée ex aequo aux films "Lignes d'espoir" de son réalisateur marocain Othman Al Akkal, et "La magie des chemins" (sihr dourroub) de sa réalisatrice égyptienne Marwa Al Souri.
Le jury de la catégorie "Film documentaire", présidé par la réalisatrice et productrice marocaine Mariam Ait Belhoucine, comprenait la réalisatrice et productrice marocaine Asmaa Mohamed Al-Moutaki et la journaliste Nadia Abram.
La cérémonie de clôture de cette manifestation artistique a été marquée par un hommage rendu au militant associatif Mustafa Kadari.
Organisée sous le thème "Cinéma entre parole et sagesse", la 10ème édition du Festival du cinéma de Benguérir a aussi rendu hommage à Salman Tarek Alalami, en reconnaissance de son rôle central dans la création du festival et de son engagement envers la culture cinématographique.
Bouillon de culture
Rencontre
La Maison de la poésie au Maroc et l'espace culturel du Café cinéma la Renaissance organisent, vendredi à Rabat, une rencontre dédiée à la présentation de l'"Anthologie du Zajal marocain contemporain", parue récemment dans les publications de l'Université de Séville.
Cette anthologie, réalisée par Francisco Moscoso Garcia, Mercedes Argun Huerta, Hassan Butke et Sarah Lee Gittensburg, est la première à paraître en deux langues, à savoir le dialecte marocain et l'espagnol, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Cette nouvelle publication propose plusieurs approches culturelles, poétiques, linguistiques et rhétoriques pour traiter la poésie écrite en dialecte marocain, souligne le communiqué.
Le texte de cette anthologie, qui compte 240 pages, a été sélectionné par une équipe d'étude et de traduction qui comprend les poètes Idriss Al Masnawi, Ahmed Lemsyeh, Radwan Afandi, Mourad Kadiri, Hmida Belbali, Maimoun El Ghazi, Bouâazza Sanâawi, Adil Lotfi, Dalila Fakhri, Younes Tahouch, Sabah Bendaoud, Mansour Amiri, Azzedine Cheddadi et Sarah Oulad El Ghzal.
La Maison de la poésie au Maroc et l'espace culturel du Café cinéma la Renaissance organisent, vendredi à Rabat, une rencontre dédiée à la présentation de l'"Anthologie du Zajal marocain contemporain", parue récemment dans les publications de l'Université de Séville.
Cette anthologie, réalisée par Francisco Moscoso Garcia, Mercedes Argun Huerta, Hassan Butke et Sarah Lee Gittensburg, est la première à paraître en deux langues, à savoir le dialecte marocain et l'espagnol, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Cette nouvelle publication propose plusieurs approches culturelles, poétiques, linguistiques et rhétoriques pour traiter la poésie écrite en dialecte marocain, souligne le communiqué.
Le texte de cette anthologie, qui compte 240 pages, a été sélectionné par une équipe d'étude et de traduction qui comprend les poètes Idriss Al Masnawi, Ahmed Lemsyeh, Radwan Afandi, Mourad Kadiri, Hmida Belbali, Maimoun El Ghazi, Bouâazza Sanâawi, Adil Lotfi, Dalila Fakhri, Younes Tahouch, Sabah Bendaoud, Mansour Amiri, Azzedine Cheddadi et Sarah Oulad El Ghzal.