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Trois nouvelles publications ont été présentées, lundi à Rabat, par une pléiade d'intellectuels et d'universitaires, dans le cadre de la 6ème édition du Festival “Florilège culturel”, placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Cette rencontre culturelle, organisée par l'Association Ribat Al Fath pour le développement durable, a été une occasion idoine pour permettre aux lecteurs d'approfondir leur compréhension des contenus évoqués dans chacun des ouvrages, à savoir “Fi Madad Al Maana, réflexions et contemplations sur le Saint Coran” de Thami Harrak, “Le Coran et l'obligation de lecture interne: exemple de la sourate al-Tawbah” de Moulay Ahmed Saber, ainsi que “L'héritage soufi tijani” de Mountassir Hamada.
Dans une déclaration à la presse, M. Harrak a indiqué qu’il tente à travers son ouvrage, qui constitue un prolongement intellectuel de ses livres précédents, d’examiner les moyens de rompre avec l’intolérance religieuse, en étudiant le Saint Coran comme étant le texte suprême et le guide de vie pour chaque croyant.
Il a précisé que le livre appelle également à méditer sur les significations du texte coranique en quête des réponses aux questions actuelles et futures, soulignant que "cette lecture approfondie fournira indubitablement des pistes incontournables pour composer avec les problématiques contemporaines".
Pour sa part, M. Saber a expliqué que son ouvrage tente de présenter une lecture contemporaine de Sourate al-Tawbah, de manière à rappeler les nobles valeurs véhiculées dans le Saint Coran, telles que la miséricorde, l’amour et la paix.
De son côté, M. Mountassir a expliqué que son ouvrage sur le soufisme s'intéresse à la "Tariqa Tijaniya" (la voie tijanie) "en tant que l'une des principales écoles soufies en Afrique du Nord et de l'Ouest", dans le but de cerner les facteurs ayant contribué à l'essor local et continental de cette confrérie.
Le programme de la 6ème édition du Festival "Florilège culturel", qui se poursuit jusqu'au 20 décembre, comprend plusieurs activités culturelles et des rencontres pour discuter des dernières évolutions relatives à l'intelligence artificielle (IA) et croiser les regards sur ses impacts futurs sur différents secteurs vitaux.
Le festival se veut ainsi un espace d’échange autour des applications concrètes de l’IA dans des domaines clés tels que la santé, l’éducation, l’environnement et l’économie, tout en mettant en exergue les enjeux éthiques et sociétaux de cette technologie, dans une optique de développement durable.
Cette rencontre culturelle, organisée par l'Association Ribat Al Fath pour le développement durable, a été une occasion idoine pour permettre aux lecteurs d'approfondir leur compréhension des contenus évoqués dans chacun des ouvrages, à savoir “Fi Madad Al Maana, réflexions et contemplations sur le Saint Coran” de Thami Harrak, “Le Coran et l'obligation de lecture interne: exemple de la sourate al-Tawbah” de Moulay Ahmed Saber, ainsi que “L'héritage soufi tijani” de Mountassir Hamada.
Dans une déclaration à la presse, M. Harrak a indiqué qu’il tente à travers son ouvrage, qui constitue un prolongement intellectuel de ses livres précédents, d’examiner les moyens de rompre avec l’intolérance religieuse, en étudiant le Saint Coran comme étant le texte suprême et le guide de vie pour chaque croyant.
Il a précisé que le livre appelle également à méditer sur les significations du texte coranique en quête des réponses aux questions actuelles et futures, soulignant que "cette lecture approfondie fournira indubitablement des pistes incontournables pour composer avec les problématiques contemporaines".
Pour sa part, M. Saber a expliqué que son ouvrage tente de présenter une lecture contemporaine de Sourate al-Tawbah, de manière à rappeler les nobles valeurs véhiculées dans le Saint Coran, telles que la miséricorde, l’amour et la paix.
De son côté, M. Mountassir a expliqué que son ouvrage sur le soufisme s'intéresse à la "Tariqa Tijaniya" (la voie tijanie) "en tant que l'une des principales écoles soufies en Afrique du Nord et de l'Ouest", dans le but de cerner les facteurs ayant contribué à l'essor local et continental de cette confrérie.
Le programme de la 6ème édition du Festival "Florilège culturel", qui se poursuit jusqu'au 20 décembre, comprend plusieurs activités culturelles et des rencontres pour discuter des dernières évolutions relatives à l'intelligence artificielle (IA) et croiser les regards sur ses impacts futurs sur différents secteurs vitaux.
Le festival se veut ainsi un espace d’échange autour des applications concrètes de l’IA dans des domaines clés tels que la santé, l’éducation, l’environnement et l’économie, tout en mettant en exergue les enjeux éthiques et sociétaux de cette technologie, dans une optique de développement durable.
Bouillon de culture
Festival
La 12ᵉ édition du Festival international des musiciens non-voyants se tiendra à Tétouan du 19 au 21 décembre courant, en célébration des talents musicaux des personnes en situation de handicap visuel.
Organisé par l'Association Louis Braille pour les aveugles de Tétouan, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord (APDN) et du Conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, ce festival portera le nom de l’artiste Mohamed Ben Hakka et se déroulera au Théâtre espagnol.
L'événement met en avant les compétences artistiques des musiciens non voyants, tout en offrant une plateforme d'échange entre créateurs venus du Maroc et d’autres pays du monde.
Il vise également à intégrer davantage les personnes en situation de handicap dans leur environnement social et à sensibiliser le public aux défis auxquels elles sont confrontées dans leur parcours créatif.
Le festival s’ouvrira par une soirée andalouse animée par la troupe Mohamed Larbi Temsamani sous la direction de Mohamed El Amine El Akrami, accompagnée d’une prestation des jeunes filles de l’Organisation Alaouite pour la protection des aveugles – section Tétouan, ainsi que par une performance du groupe "Blind SMS" venu du Cameroun.
Au programme également de ce festival, des rencontres et conférences autour des thèmes de la "Créativité face aux défis" et de la "Technologie et musique", ainsi que des performances musicales et poétiques.
La 12ᵉ édition du Festival international des musiciens non-voyants se tiendra à Tétouan du 19 au 21 décembre courant, en célébration des talents musicaux des personnes en situation de handicap visuel.
Organisé par l'Association Louis Braille pour les aveugles de Tétouan, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord (APDN) et du Conseil régional de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, ce festival portera le nom de l’artiste Mohamed Ben Hakka et se déroulera au Théâtre espagnol.
L'événement met en avant les compétences artistiques des musiciens non voyants, tout en offrant une plateforme d'échange entre créateurs venus du Maroc et d’autres pays du monde.
Il vise également à intégrer davantage les personnes en situation de handicap dans leur environnement social et à sensibiliser le public aux défis auxquels elles sont confrontées dans leur parcours créatif.
Le festival s’ouvrira par une soirée andalouse animée par la troupe Mohamed Larbi Temsamani sous la direction de Mohamed El Amine El Akrami, accompagnée d’une prestation des jeunes filles de l’Organisation Alaouite pour la protection des aveugles – section Tétouan, ainsi que par une performance du groupe "Blind SMS" venu du Cameroun.
Au programme également de ce festival, des rencontres et conférences autour des thèmes de la "Créativité face aux défis" et de la "Technologie et musique", ainsi que des performances musicales et poétiques.