La ville d'Essaouira se veut une muse éternelle des artistes du monde en quête d'inspiration, ont affirmé, samedi à l'espace socioculturel "Dar Souiri", des artistes de divers horizons et ce, lors d'une table ronde organisée à l'occasion de la première édition du Festival de cinéma "Esther et Salma".
Cette rencontre d'échange artistique et intellectuel, à laquelle ont pris part une pléiade de personnalités marocaines et étrangères du monde du cinéma, de la musique, de la littérature et de l'art, a constitué l'occasion de mettre en exergue le rôle de la Cité des Alizés en tant que havre mondial d'inspiration, offrant un cadre authentique où la richesse culturelle et la beauté naturelle se rencontrent pour nourrir la créativité.
Intervenant lors de cette rencontre tenue sous le thème "Art et exil", la directrice artistique du festival, Catherine Becker, a mis en avant la manière dont l'atmosphère unique d'Essaouira, son histoire riche et son patrimoine architectural sublime agissent comme "catalyseurs" pour les artistes du monde entier, leur permettant de puiser dans de nouvelles sources d'inspiration et d'explorer des horizons artistiques inédits.
Mme Becker a également évoqué les nombreux témoignages d'artistes venus des quatre coins du monde qui, au contact de l'énergie singulière de la Cité des Alizés, ont trouvé une nouvelle direction à leurs œuvres, ajoutant que le Festival "Esther et Salma" vise à célébrer cette dynamique créative, en faisant de la ville un véritable carrefour d'échanges et de collaborations artistiques internationales.
De son côté, David Sarki, musicien souiri, a partagé des réflexions sur l'importance de la créativité et de l'expression artistique dans le contexte de l'exil, mettant en évidence l'importance d'Essaouira comme terre de révélation et espace de rencontres et de partage pour une famille d'artistes venus de divers horizons.
Dans cette perspective, il a mis en lumière la portée universelle de la musique gnaoua, une expression artistique ancestrale imprégnée de traditions et de spiritualité, notant que cette forme d'art a captivé l'intérêt d'artistes de renom venus de par le monde pour explorer et plonger dans les profondeurs de cette musique authentique.
Prenant la parole à son tour, la cinéaste libano-canadienne, Katia Jarjoura, s'est réjouie de la place importante qu'occupe la Cité des Alizés en tant que véritable musée à ciel ouvert, où convergent les réalisations artistiques et cinématographiques du monde entier.
Elle a, dans ce sillage, mis l'accent sur l'importance de cette ville authentique en tant que lieu de rencontre interculturelle, où les cinéastes du monde entier trouvent inspiration et créativité, contribuant ainsi à enrichir le paysage culturel mondial.
Par ailleurs, cette rencontre a été marquée par des récits poignants d'artistes qui ont partagé leurs expériences personnelles d'exil et de migration mettant l'accent sur les triomphes rencontrés sur le chemin de la création artistique.
Cette rencontre d'échange artistique et intellectuel, à laquelle ont pris part une pléiade de personnalités marocaines et étrangères du monde du cinéma, de la musique, de la littérature et de l'art, a constitué l'occasion de mettre en exergue le rôle de la Cité des Alizés en tant que havre mondial d'inspiration, offrant un cadre authentique où la richesse culturelle et la beauté naturelle se rencontrent pour nourrir la créativité.
Intervenant lors de cette rencontre tenue sous le thème "Art et exil", la directrice artistique du festival, Catherine Becker, a mis en avant la manière dont l'atmosphère unique d'Essaouira, son histoire riche et son patrimoine architectural sublime agissent comme "catalyseurs" pour les artistes du monde entier, leur permettant de puiser dans de nouvelles sources d'inspiration et d'explorer des horizons artistiques inédits.
Mme Becker a également évoqué les nombreux témoignages d'artistes venus des quatre coins du monde qui, au contact de l'énergie singulière de la Cité des Alizés, ont trouvé une nouvelle direction à leurs œuvres, ajoutant que le Festival "Esther et Salma" vise à célébrer cette dynamique créative, en faisant de la ville un véritable carrefour d'échanges et de collaborations artistiques internationales.
De son côté, David Sarki, musicien souiri, a partagé des réflexions sur l'importance de la créativité et de l'expression artistique dans le contexte de l'exil, mettant en évidence l'importance d'Essaouira comme terre de révélation et espace de rencontres et de partage pour une famille d'artistes venus de divers horizons.
Dans cette perspective, il a mis en lumière la portée universelle de la musique gnaoua, une expression artistique ancestrale imprégnée de traditions et de spiritualité, notant que cette forme d'art a captivé l'intérêt d'artistes de renom venus de par le monde pour explorer et plonger dans les profondeurs de cette musique authentique.
Prenant la parole à son tour, la cinéaste libano-canadienne, Katia Jarjoura, s'est réjouie de la place importante qu'occupe la Cité des Alizés en tant que véritable musée à ciel ouvert, où convergent les réalisations artistiques et cinématographiques du monde entier.
Elle a, dans ce sillage, mis l'accent sur l'importance de cette ville authentique en tant que lieu de rencontre interculturelle, où les cinéastes du monde entier trouvent inspiration et créativité, contribuant ainsi à enrichir le paysage culturel mondial.
Par ailleurs, cette rencontre a été marquée par des récits poignants d'artistes qui ont partagé leurs expériences personnelles d'exil et de migration mettant l'accent sur les triomphes rencontrés sur le chemin de la création artistique.