L'action de Warner Bros. Discovery plongeait mercredi dans les échanges électroniques après la clôture de Wall Street, le groupe de médias ayant annoncé une perte trimestrielle de près de dix milliards de dollars, due à une dépréciation d'actifs dans le câble.
Illustration des difficultés de la télévision payante par câble face à l'explosion du streaming, le groupe a annoncé dans un communiqué une dépréciation d'actifs de 9,1 milliards de dollars, concernant son réseau par câble.
Vers 01H30 GMT jeudi, le titre perdait plus de 10%, après la publication de ses résultats trimestriels plombés par la "différence entre la valorisation (par les marchés) et la valeur comptable" de cette division.
Warner Bros. Discovery ajoute que sa perte trimestrielle est aussi due à la "mollesse continue du marché de la publicité linéaire traditionnelle" et à "l'incertitude" quant au renouvellement des droits sportifs, dont les prix ont explosé.
Fin juillet, le titre du groupe spécialiste du divertissement avait déjà plongé à la suite de l'annonce de la perte des droits de diffusion de la ligue professionnelle nord-américaine de basket NBA.
Selon plusieurs médias américains, le groupe a saisi la justice pour contester cette décision de la NBA, camouflet pour le diffuseur depuis 1988, qui perd un produit d'appel majeur pour sa chaîne TNT mais surtout pour sa plateforme de streaming Max.
Entre avril et mai, Warner Bros. Discovery, qui englobe, entre autres, CNN, HBO et des studios de cinéma du même nom, a enregistré un chiffre d'affaires de 9,7 millions de dollars, en baisse de 6% par rapport à la même période l'an dernier.
La perte nette s'élève à 9,98 milliards de dollars, contre une perte de 1,24 milliard en 2023.
En 2022, Discovery avait acquis WarnerMedia auprès d'AT&T pour former le géant Warner Bros Discovery, aujourd'hui dirigé par David Zaslav.
"Deux ans après avoir lancé notre entreprise, nous sommes encore au milieu d'une transition à long-terme, marquée par des points en progrès notable mais aussi par des défis difficiles", a déclaré ce dernier lors d'un appel avec des analystes mercredi.
"Nos activités directes auprès du consommateur vont très bien" tandis que les "activités historiques" font face à des conditions "difficiles", a-t-il ajouté.
Illustration des difficultés de la télévision payante par câble face à l'explosion du streaming, le groupe a annoncé dans un communiqué une dépréciation d'actifs de 9,1 milliards de dollars, concernant son réseau par câble.
Vers 01H30 GMT jeudi, le titre perdait plus de 10%, après la publication de ses résultats trimestriels plombés par la "différence entre la valorisation (par les marchés) et la valeur comptable" de cette division.
Warner Bros. Discovery ajoute que sa perte trimestrielle est aussi due à la "mollesse continue du marché de la publicité linéaire traditionnelle" et à "l'incertitude" quant au renouvellement des droits sportifs, dont les prix ont explosé.
Fin juillet, le titre du groupe spécialiste du divertissement avait déjà plongé à la suite de l'annonce de la perte des droits de diffusion de la ligue professionnelle nord-américaine de basket NBA.
Selon plusieurs médias américains, le groupe a saisi la justice pour contester cette décision de la NBA, camouflet pour le diffuseur depuis 1988, qui perd un produit d'appel majeur pour sa chaîne TNT mais surtout pour sa plateforme de streaming Max.
Entre avril et mai, Warner Bros. Discovery, qui englobe, entre autres, CNN, HBO et des studios de cinéma du même nom, a enregistré un chiffre d'affaires de 9,7 millions de dollars, en baisse de 6% par rapport à la même période l'an dernier.
La perte nette s'élève à 9,98 milliards de dollars, contre une perte de 1,24 milliard en 2023.
En 2022, Discovery avait acquis WarnerMedia auprès d'AT&T pour former le géant Warner Bros Discovery, aujourd'hui dirigé par David Zaslav.
"Deux ans après avoir lancé notre entreprise, nous sommes encore au milieu d'une transition à long-terme, marquée par des points en progrès notable mais aussi par des défis difficiles", a déclaré ce dernier lors d'un appel avec des analystes mercredi.
"Nos activités directes auprès du consommateur vont très bien" tandis que les "activités historiques" font face à des conditions "difficiles", a-t-il ajouté.