Hollywood n'a pas attendu les Jeux olympiques à Los Angeles en 2028: la musique de "Mission impossible" retentit car c'est bien Tom Cruise dans les gradins, présent aux JO de Paris comme ses pairs Steven Spielberg ou Nicole Kidman.
Ce clin d'oeil musical à l'Arena Bercy (grande salle parisienne de concert aménagée pour les Jeux) a fait le tour des réseaux sociaux. La vedette de "Top gun" a été reçue avec les honneurs dès son arrivée dans la capitale, élevée par les autorités françaises au rang de Chevalier des arts et des lettres.
Puis celui qui incarne Ethan Hunt dans la franchise "Mission impossible" a été repéré en tribunes des épreuves de gymnastique, debout derrière Greta Gerwig, présidente du dernier Festival de Cannes et réalisatrice de "Barbie".
Simone Biles, mégastar de la gymnastique américaine, peut se targuer d'avoir attiré une légion étoiles d'Hollywood. Comme Lady Gaga, qui a posté sur ses réseaux: "Elle a assuré ! Quel honneur d'avoir été aussi près", après un passage de l'athlète sur la poutre.
La chanteuse est aussi une actrice très attendue à l'automne dans "Joker: Folie à deux", suite du film originel avec Joaquin Phoenix. Après avoir interprété "Mon truc en plumes", standard du music-hall parisien de Zizi Jeanmaire, lors de la cérémonie d'ouverture, elle profite des Jeux et aussi de ses fans, à qui elle a fait écouter des extraits de son prochain album depuis le toit ouvrant de sa limousine devant son palace.
Pendant les épreuves de natation, l'interprète du tube "Poker face" a rencontré Gabriel Attal, Premier ministre du gouvernement français démissionnaire. L'artiste a présenté au responsable politique son "fiancé", l'homme d'affaires Michael Polansky, étiquette qui a enflammé la presse people.
Le contingent des Australiens associés au cinéma US se fait aussi remarquer à Paris. L'actrice principale de "Barbie", Margot Robbie, a été vue lors de la cérémonie d'ouverture, tandis que Baz Luhrmann, réalisateur de "Moulin rouge" et "Elvis" qui ne quitte plus Anna Wintour, papesse de la mode, s'est assis lui aussi en tribunes de la gymnastique. Et Nicole Kidman ("Eyes wide shut", "Moulin rouge") est partout, y compris dans le public du skateboard.
Son omniprésence s'explique en partie par un statut d'ambassadrice d'une maison d'horlogerie chronométreur olympique officiel. De même que l'Américaine Jessica Chastain ("Zero dark thirty", "Interstellar"), photographiée dans les gradins de la gymnastique, est l'égérie d'une grande marque qui habille les membres de la "Team USA".
La passion pour le sport du réalisateur Spike Lee ("Do the right thing", "Malcolm X") n'est en revanche pas questionnée. Fan historique des New York Knicks, le cinéaste à casquette et lunettes fantaisie a logiquement assisté à un match de basket de la "Dream Team" américaine à Lille (nord). Vu au bord d'une piscine olympique, cet inconditionnel de rap a répondu à l'invitation de Flavor Flav, pilier du collectif de hip-hop Public Enemy, devenu sponsor et porte-étendard de l'équipe de water-polo américaine féminine.
Il faut aussi évidemment citer une légende, le réalisateur Steven Spielberg ("Les dents de la mer", "E.T.", etc.), aperçu lors de la cérémonie d'ouverture, sous la pluie, à côté de Tom Cruise. "J'aime ce moment, quand le public sait que le show va commencer, un grand show raconte une grande histoire", lance le cinéaste dans une bande-annonce de la chaîne télé américaine NBC diffusée avant les JO.
Sous ses yeux, la cérémonie a mis la barre très haut. L'usine à rêve d'Hollywood sera sans doute sollicitée pour relever le défi dans quatre ans. Au lendemain du show parisien, un chroniqueur du quotidien Los Angeles Times a écrit: "Heureusement que je ne suis pas le directeur artistique de l'ouverture de Los Angeles 2028. Il est temps de hausser le niveau de jeu".
Ce clin d'oeil musical à l'Arena Bercy (grande salle parisienne de concert aménagée pour les Jeux) a fait le tour des réseaux sociaux. La vedette de "Top gun" a été reçue avec les honneurs dès son arrivée dans la capitale, élevée par les autorités françaises au rang de Chevalier des arts et des lettres.
Puis celui qui incarne Ethan Hunt dans la franchise "Mission impossible" a été repéré en tribunes des épreuves de gymnastique, debout derrière Greta Gerwig, présidente du dernier Festival de Cannes et réalisatrice de "Barbie".
Simone Biles, mégastar de la gymnastique américaine, peut se targuer d'avoir attiré une légion étoiles d'Hollywood. Comme Lady Gaga, qui a posté sur ses réseaux: "Elle a assuré ! Quel honneur d'avoir été aussi près", après un passage de l'athlète sur la poutre.
La chanteuse est aussi une actrice très attendue à l'automne dans "Joker: Folie à deux", suite du film originel avec Joaquin Phoenix. Après avoir interprété "Mon truc en plumes", standard du music-hall parisien de Zizi Jeanmaire, lors de la cérémonie d'ouverture, elle profite des Jeux et aussi de ses fans, à qui elle a fait écouter des extraits de son prochain album depuis le toit ouvrant de sa limousine devant son palace.
Pendant les épreuves de natation, l'interprète du tube "Poker face" a rencontré Gabriel Attal, Premier ministre du gouvernement français démissionnaire. L'artiste a présenté au responsable politique son "fiancé", l'homme d'affaires Michael Polansky, étiquette qui a enflammé la presse people.
Le contingent des Australiens associés au cinéma US se fait aussi remarquer à Paris. L'actrice principale de "Barbie", Margot Robbie, a été vue lors de la cérémonie d'ouverture, tandis que Baz Luhrmann, réalisateur de "Moulin rouge" et "Elvis" qui ne quitte plus Anna Wintour, papesse de la mode, s'est assis lui aussi en tribunes de la gymnastique. Et Nicole Kidman ("Eyes wide shut", "Moulin rouge") est partout, y compris dans le public du skateboard.
Son omniprésence s'explique en partie par un statut d'ambassadrice d'une maison d'horlogerie chronométreur olympique officiel. De même que l'Américaine Jessica Chastain ("Zero dark thirty", "Interstellar"), photographiée dans les gradins de la gymnastique, est l'égérie d'une grande marque qui habille les membres de la "Team USA".
La passion pour le sport du réalisateur Spike Lee ("Do the right thing", "Malcolm X") n'est en revanche pas questionnée. Fan historique des New York Knicks, le cinéaste à casquette et lunettes fantaisie a logiquement assisté à un match de basket de la "Dream Team" américaine à Lille (nord). Vu au bord d'une piscine olympique, cet inconditionnel de rap a répondu à l'invitation de Flavor Flav, pilier du collectif de hip-hop Public Enemy, devenu sponsor et porte-étendard de l'équipe de water-polo américaine féminine.
Il faut aussi évidemment citer une légende, le réalisateur Steven Spielberg ("Les dents de la mer", "E.T.", etc.), aperçu lors de la cérémonie d'ouverture, sous la pluie, à côté de Tom Cruise. "J'aime ce moment, quand le public sait que le show va commencer, un grand show raconte une grande histoire", lance le cinéaste dans une bande-annonce de la chaîne télé américaine NBC diffusée avant les JO.
Sous ses yeux, la cérémonie a mis la barre très haut. L'usine à rêve d'Hollywood sera sans doute sollicitée pour relever le défi dans quatre ans. Au lendemain du show parisien, un chroniqueur du quotidien Los Angeles Times a écrit: "Heureusement que je ne suis pas le directeur artistique de l'ouverture de Los Angeles 2028. Il est temps de hausser le niveau de jeu".