Libé : Que proposez-vous concrètement aux femmes entrepreneuses, une des cibles de la 2ème édition du Hub Africa?
Z.F : Nous leur offrons un espace qui va de la formalisation de l’idée au développement notamment sur l’Afrique en passant par la création. Nous proposons aussi de rencontrer des entrepreneuses qui ont réussi. L’AFEM et ESPOD sont nos relais sur place. Elles pourront aussi rencontrer les acteurs institutionnels tels que l’ANPME, la CCG, l’OMPIC et de voir les mesures concrètes entreprises par ces dernières au service de l’entreprise notamment féminine. Elles auront à l’instar des autres entrepreneurs, la possibilité de bénéficier d’espaces conseil (création, transmission ou développement à l’international). Elles pourront aussi rencontrer des investisseurs partenaires de cette édition.
Un mot sur les Hub Africa Awards ?
Ce sont deux jours de fête que nous avons voulu pour et par les entrepreneurs. Il était donc important de récompenser les talents africains.
Quel bilan faites-vous de la 1ère édition du 1er Hub Africa?
Pendant trois jours, le Salon avait tenu en haleine pas moins de 4207 porteurs de projets, créateurs et chefs d’entreprises de PME et de TPE venus du Maroc, du Sénégal, de la Mauritanie, de la Côte d’Ivoire, de la Tunisie, et de l’Algérie… Dans la mouvance de « la nouvelle économie africaine », Hub Africa promeut des modèles de rupture tels que l’auto- entrepreneuriat, les business angels… en indiquant les voies et moyens pour un passage réussi et pérenne de l’informel au formel.