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Ces violences "donnent un argument aux gens qui sont contre ça", a reconnu Wenger vendredi. "Personnellement je suis pour le retour de ces zones où on se tient debout derrière les buts. Plus vous êtes proche des joueurs, plus vous pouvez vous passionner pour le match", a-t-il plaidé.
"Il n'y a pas de problème de hooliganisme en Angleterre. Vous ne pouvez pas dire qu'un incident mineur - j'ai entendu parler de 200 personnes - est un problème général pour le pays", a aussi balayé le technicien des Gunners, à propos des incidents de mercredi en Coupe de la Ligue entre West Ham et Chelsea.
La police a arrêté six personnes et le club de West Ham a prononcé 200 interdictions de stade à la suite de ces violences au London Stadium, où des supporters rivaux se sont lancé des objets et des sièges en plastique.
"Ce n'est pas une très bonne publicité pour le retour des tribunes debout. J'espère que West Ham va régler le problème très vite", a ajouté le Français de 67 ans.
Les tribunes debout permettraient pourtant "de faire baisser les prix, car il y aura plus de monde au stade, et sans doute une atmosphère plus passionnée", a encore souligné le patron des Gunners.
Le principe des tribunes debout a été interdit depuis 1989 en Angleterre et la tragédie de Hillsborough, où un mouvement de foule avait coûté la vie à 96 supporters de Liverpool.
En deuxième division anglaise, le club de Brighton and Hove Albion songe pourtant à installer une zone pour des spectateurs debout. Avant le début de la saison, le club écossais du Celtic Glasgow a fait installer une zone de 2.900 sièges qui peut être transformée en un espace où les supporters se tiennent debout.