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«Nous saluons la décision marocaine d'un retrait unilatéral de son personnel de la zone tampon de la région de Guerguarate en soutien à la demande du secrétaire général» de l'ONU, a souligné l'ambassade américaine à Rabat dans un communiqué.
Dans ce document, l'ambassade dit avoir pris note de la déclaration rendue publique samedi par le porte-parole du secrétaire général de l'ONU concernant la situation dans la zone de Guerguarate.
La France a, elle aussi, salué l'annonce par le Maroc, dimanche, d'un retrait unilatéral de la zone de Guerguerate, soulignant qu'il s’agit d’un geste important en vue d’un apaisement, prenant en compte la stabilité et l’intérêt de la région.
«La France appelle toutes les parties à faire preuve de responsabilité en retirant de manière inconditionnelle et immédiate les éléments armés présents dans la même zone, conformément aux accords de cessez-le-feu», a déclaré le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères Romain Nadal.
Il a également rappelé que la France réaffirme son soutien à la recherche, sous l’égide des Nations unies, d’une solution juste, durable et mutuellement acceptable au Sahara, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, et considère que le plan d’autonomie marocain de 2007 constitue «une base sérieuse et crédible à cette fin».
Le gouvernement espagnol a également accueilli avec satisfaction l’annonce officielle d’un retrait unilatéral immédiat de la zone de Guerguerate faite dimanche par le Maroc.
Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, l’Espagne a appelé les autres parties à procéder aussi «de manière immédiate» au retrait de tous les éléments de la zone en question, en réponse à la demande du secrétaire général des Nations unies.
Le gouvernement espagnol a exprimé son appui à l’appel lancé samedi par le secrétaire général des Nations unies aux parties «à faire preuve de la plus grande retenue pour éviter l'escalade, de manière à permettre la reprise du dialogue dans le cadre du processus politique mené par l'ONU», a indiqué le communiqué.
«Le gouvernement espagnol espère que les contacts puissent reprendre prochainement à l’initiative du secrétaire général des Nations unies pour avancer vers une solution politique, durable et mutuellement acceptable» à la question du Sahara, a ajouté la même source.