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Ce rapport, publié au deuxième jour de la conférence de Copenhague sur le climat, souligne que seule une petite partie de ces "réfugiés climatiques" quittent leur pays d'origine. Les autres, la grande majorité, rejoignent des villes déjà surpeuplées, ce qui a pour effet d'accentuer les dégradations environnementales.
S'avançant sur le terrain des estimations, l'OIM recense plusieurs projections sur les déplacements de population liés aux conséquences du réchauffement climatique.
"Les estimations varient entre 25 millions et un milliard sur les quarante prochaines années", note l'étude qui souligne que l'estimation la plus basse est aujourd'hui datée.
L'OIM relève aussi que le nombre de catastrophes naturelles a plus que doublé en vingt ans.
Elle identifie également les régions potentiellement les plus concernées par ces phénomènes migratoires liés au climat, parmi lesquelles l'Afghanistan, le Bangladesh, la majeure partie de l'Amérique centrale, des portions de l'Afrique de l'Ouest et de l'Asie du Sud-Est.