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Pour rappel, cette partie de bras de fer s’est déclenchée en 2006 lorsqu’une patrouille du Polisario avait intercepté un membre de la tribu à la frontière entre la Mauritanie et l’Algérie. Il devait s’agir d’un simple contrôle d’identité et des papiers de la 4x4 à bord de laquelle était rentrée la victime en provenance de Zouérate. Cette dernière, dont les papiers étaient en règle, a dû pourtant payer les frais d’une contravention fictive. Mais ses peines n’allaient pas s’arrêter à ce stade. Chemin faisant vers Tindouf, il a été arrêté une seconde fois par une milice armée du Polisario. Il sera cette fois battu jusqu’au sang pour avoir refusé de payer une nouvelle contravention. Cette injustice a été affrontée avec une vive protestation de la part de la tribu de la victime. Dès lors, et jusqu’au jour d’aujourd’hui, les rapports sont restés tendus avec la direction du Polisario. Ces rapports ont dégénéré ces derniers jours, en raison de ce que Ould Annafeï appelle « la profonde rancune » des nervis du Polisario envers les membres de sa tribu.