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Le vernissage de cette exposition, qui s’est déroulé en présence du wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d'Oued Eddahab, Lamine Benomar, retrace les visites Royales dans les provinces du Sud, notamment à Dakhla, Lâayoune, Smara et Boujdour.
Cette exposition regroupant environ 200 clichés photographiques, constitue un témoignage photographique sur la marche de développement dans les provinces du Sud du Maroc dans tous les domaines. Dans une déclaration à M24, la chaîne d'information en continu de la MAP, M. Maradji a souligné que cette exposition a pour objectif de présenter au public de Dakhla les différents clichés photographiques qui témoignent des principales visites effectuées par S.M le Roi dans les différentes villes du Sahara marocain.
Connu sous le nom du "Photographe des trois Rois", M. Maradji a aussi fait savoir qu’il a accompagné par l’image l’essor que connaissent les provinces du Sud, depuis la Marche Verte jusqu’à présent. Né en 1939 à Casablanca, Mohamed Maradji a fait ses débuts dans les années 1956, à l’âge de 16 ans, comme photographe ambulant dans les rues de sa ville natale. Son parcours de self-made-man lui vaut le respect car il est devenu une icône du reportage photographique dans son pays et le témoin privilégié des grands événements historiques.
Bouillon de culture
Le coup d’envoi de la 16ème édition du Festival international de danse contemporaine "On Marche" a été donné vendredi, à Marrakech, par l’organisation d’une conférence sous le thème "Méditations sur le corps dans l’espace intellectuel marocain". Cette conférence vise à aborder sous différents angles, des questions se rapportant aux moyens susceptibles de promouvoir la danse contemporaine avec la participation d’intellectuels, d’artistes et de chercheurs.
Cette 16ème édition du festival intervient suite à l’organisation de deux manifestations dédiées à ce genre artistique, dont la première édition de "La Caravane des corps", initiée par Taoufiq Izeddiou, fondateur et directeur du festival, ainsi qu’une tournée organisée en janvier dernier, dans les Instituts français du Maroc dans le cadre de la saison culturelle franco-marocaine.
Dans une déclaration à M24, la chaîne télévisée d’information en continu de la MAP, le directeur et fondateur du festival, Taoufiq Izeddiou, a relevé que la 16ème édition du Festival international de danse contemporaine se tient dans un contexte marqué par l’adoption par les organisateurs, d’une nouvelle stratégie à travers le projet "On Marche / Nafass On Marche" pour la période 2023-2026, visant à promouvoir la danse contemporaine en tant que patrimoine culturel immatériel.
Ce festival ne se veut pas élitiste, mais a bien été pensé pour rendre cet art accessible au plus grand nombre, a-t-il ajouté, relevant que cette édition sera marquée par l’ouverture d’un débat sur le corps et par le lancement, avec le soutien du ministère de la Jeunesse, la Culture et de la Communication et plusieurs partenaires mondiaux en plus d’Instituts de chorégraphie, du Prix "Taklif", qui récompensera les jeunes chorégraphes.