-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
Ces chercheurs ont étudié les dossiers de plus de 800 femmes atteintes d'un cancer du sein pour déterminer si un lien pouvait être établi entre le niveau de ferroportin et l'issue du cancer à long terme. Un faible taux de ferroportin signifiait que le cancer était particulièrement agressif et que leurs chances de survie étaient entamées. A l'inverse, un niveau élevé de la protéine signifiait 90 % de chances de rémission à long terme. L'étude publiée affirme qu'à l'avenir, la manipulation du niveau de ferroportin pourrait s'avérer un traitement efficace du cancer du sein.
Suzy Torti précise que cela ne signifie pas que les patientes doivent modifier le niveau d'apport en fer de leur alimentation, puisque l'étude porte uniquement sur le comportement du fer dans les cellules, et non dans le régime alimentaire.