-
Une sonde de la Nasa est passée au plus près du Soleil
-
Des supporters de l'OM au camp d'internement des Milles pour "pas que ça dérape"
-
Les Mexicains encouragés à déposer leurs armes dans des églises
-
En Ile-de-France, des biodéchets de restaurants transformés en compost pour les agriculteurs
-
Dans les rues d'Addis Abeba, les Lada disparaissent peu à peu
Cette toute nouvelle technique vient d’être testée aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Elle serait vraisemblablement disponible pour les femmes britanniques en début d’année prochaine.
La procédure consiste à utiliser la graisse superflue de différentes parties du corps telles que la taille ou le ventre, et de la réinjecter dans la poitrine en substitut des implants. Les avantages de cette technique sont nombreux pour les médecins : l’aspect et le toucher seront plus proches des seins naturels que les implants traditionnels. Plus de 2500 femmes se déclarent déjà intéressées par cette opération qui coûtera environ 9.000 euros. Mel Braham, président du centre médical d’Harley explique : “Cette avancée est la plus excitante que j’ai connue depuis ces 20 dernières années en matière de chirurgie esthétique et reconstructrice. Cette technique deviendra beaucoup plus populaire que les implants et dominera le marché de la chirurgie esthétique dans les prochaines années.”.
Une femme de 34 ans a servi de cobaye 4 ans plus tôt et a été vraiment conquise par cette technique : “Je n’aurais jamais imaginé me faire poser des implants en silicone, mais cette technique naturelle pour augmenter mon tour de poitrine, c’est comme un rêve qui devient réalité.”