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L'étude a été réalisée à la demande du principal conseiller du gouvernement en matière de santé, Sir Liam Donaldson. Les auteurs soulignent : "La première pandémie de grippe du XXIe siècle est considérablement moins létale qu'on ne le craignait au départ".
En effet, depuis le 8 novembre, l'incidence de mortalité est de 26 cas pour 100.000 personnes infectées (0,026 %).Près de deux-tiers des patients décédés comportaient un ou plusieurs facteurs de risque. Si les personnes âgées ont moins de chances d'être sensibles au virus, du fait d'une exposition antérieure, celles qui ont été infectées ont pourtant plus de risques de mourir.Par rapport à la grippe espagnole de 1918 (23 % de décès), la grippe A se révèle cent fois moins mortelle. Et dix fois moins que les épidémies de grippe de 1957 et 1968 (0,2 % de décès). Des études américaines ont montré récemment que cette pandémie pourrait être la moins sévère jamais répertoriée. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis estiment son taux de mortalité plus faible que celui de la grippe saisonnière. Ces études viennent confirmer les propos de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui qualifiait cette pandémie de "modérée". Les plus grandes craintes concernant ce nouveau virus sont ses possibilités de mutation et donc de plus grande dangerosité.