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Une diplômée centenaireZigonet
Mardi 2 Février 2010
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Une vingtaine de jours après son centième anniversaire, une Américaine a obtenu son "Bachelor degree of education" (diplôme d'enseignement supérieur), certifiant la qualité d'un enseignant dans les écoles primaires. Comme le dit le dicton : "Mieux vaut tard que jamais". Madame Harriet Richardson Ames était une enseignante à la retraite. Professeur dans une école depuis 1931, elle a dû mettre fin à sa carrière suite à des troubles de la vue.Alors titulaire du certificat nécessaire à la pratique de l'enseignement lors de sa carrière, elle a toujours été décrite comme "le genre de professeur que tout le monde aimerait avoir". Très bonne enseignante, elle a laissé un très bon souvenir à ses anciens élèves en leur transmettant le goût de la lecture. Mais évolution de la société oblige, son diplôme est devenu obsolète avec le temps. Pour se mettre à jour, elle doit réunir des crédits pour obtenir son "Bachelor degree in education". Nous sommes en 1971 et ses troubles de la vue apparaissent, la forçant à se retirer du professorat sans savoir si elle remplit les conditions pour obtenir son nouveau diplôme. Il lui faudra attendre près de quarante ans pour que ce diplôme lui soit attribué. Après avoir appris que Mme Ames rêvait d'obtenir ce diplôme, la "Keene State College Golden" (école où elle enseignait) ressort son dossier, et constate que l'enseignante retraitée a réuni suffisamment de crédits.Trois semaines après avoir fêté son centième anniversaire, la vieille dame se voit remettre le diplôme tant désiré. C'est une grande joie pour cette dernière qui déclare en pleurant : "Si je meurs demain, je sais que je mourrais heureuse, parce que mon diplôme est valide".Le lendemain, elle s'éteint, heureuse d'avoir été reconnue à sa juste valeur.
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