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Pour tous ceux qui l’ont connu, Adil a supporté, stoïquement la sévère et incompréhensible sentence que l’on a tenu à lui infliger.
Il s’apprêtait à retrouver son beau monde. On s’impatientait tous à l’idée de le retrouver. Le 4 septembre prochain devait assurément être un grand jour, celui des grandes retrouvailles. Hélas, il n’y aura plus de 4 septembre. Devrait-on évoquer le seul destin ?
Adil souffrait d’une tendinite qui se faisait de plus en plus calcifiante, de plus en plus douloureuse. Les injections qu’on lui a administrées n’ont pas donné l’effet, en principe, escompté. Bien au contraire. Avait-on réalisé le bon diagnostic et prescrit le bon remède? Le transfert d’Adil au CHU Avicenne s’imposait. L’y avait-on emmené à temps ? Y avait-il reçu les soins qui convenaient et qui s’imposaient ?
Au fait, c’est quoi ce système de santé où l’on meurt d’une tendinite ?
Et dire que tu étais le plus costaud de nous tous. Le plus jeune aussi.
Le fait est là, cher Adil. Nous devons nous résigner à continuer sans toi tout en sachant que la vie ne sera sûrement plus la même, qu’elle n’aura pas le même goût
Puisse Dieu doter de tout le réconfort possible ton épouse, la dévouée Narjis Boulouiz et tes petits Yassir et Mehdi, tes parents, tes frères et sœurs, tes nombreux amis, ceux du Stade Marocain dont tu as présidé avec bonheur les sections tennis et football, ceux de la Fédération de tennis dont tu étais un membre aussi dynamique que connaisseur.
Repose en paix cher Adil.
Que le Tout-Puissant ait ton âme en sa Sainte Miséricorde.