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Le ministère de l’Intérieur a tenu à tirer les choses au clair.
En effet, le gouverneur de la préfecture de Salé, Abderrahmane Benali, a affirmé que les publications postées en son nom sur le réseau social "Facebook" ne lui appartiennent pas et n’expriment nullement son opinion ou son point de vue.
Dans une mise au point, le gouverneur de la préfecture a démenti catégoriquement qu’il ait créé une page portant son nom sur "Facebook", précisant que la page portant le nom du gouverneur de Salé Abderrahmane Benali a été créée par un inconnu qui a usurpé son identité, posté des photos qui ont été prises lors de cérémonies officielles et publié diverses déclarations infondées.
Certains sites électroniques avaient relayé des informations selon lesquelles Abderrahmane Benali a écrit sur la page Facebook : "Le gouverneur de la préfecture de Salé prévoit la victoire du Parti authenticité et modernité lors des élections du 7 octobre 2016", précise la même source.
Le gouverneur de Salé avait déjà contacté l’administration de Facebook en août 2015 qui avait supprimé la page précitée, mais sans doute la même personne a réactivé ladite page, ce qui a poussé Abderrahmane Benali à contacter le responsable local de Maroc Telecom à Salé pour prendre les mesures légales et administratives adéquates afin de supprimer cette page, avec la possibilité d’engager une poursuite judiciaire contre le coupable.
Une fois encore, le PJD tombe dans son propre piège. C’est bien ce parti et aucun autre qui tire profit de cet amalgame et des situations confuses. Il ya de fortes chances donc que l’usurpateur soit un barbu convaincu.
La preuve que le PJD persiste à faire dans la victimisation pour justifier son échec, son incapacité à gérer le pays, ses boutades ratées et ses lamentables écarts de langage. En somme, il ne rate pas d’occasion pour s’inventer des ennemis et détourner les citoyens des vrais problèmes.
Sur ce registre, il y a lieu de rappeler l’épisode du salafiste Hammad Kebbaj qui s’est vu refuser sa candidature à Marrakech pour les élections législatives par le ministère de l’Intérieur en raison de ses positions antidémocratiques et ses discours extrémistes et le cas de Mustapha Ramid, ministre PJD de la Justice et des Libertés accusant le même département de l’écarter de toute décision ayant trait aux législatives et partant, il se défausse de toute responsabilité relative aux prochains résultats du scrutin du 7 octobre.
De ce fait, une question des plus légitimes s’impose. Le PJD redouterait-il à ce point d’être défait lors des prochaines élections ? Il ne se passe pas un jour sans que ce parti ne prétende avoir fait l’objet d’agression et de dénigrement de « prévaricateurs » ainsi que d’une campagne médiatique visant à porter atteinte à son image.