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Après les Jeux olympiques de Londres 2012 et ceux de Rio de Janeiro 2016, pourquoi pas des JO de la mer de la Tranquilité en 2072? Deux étudiants en cinquième année d’architecture d’une université californienne, Brian Harms et Keith Bradley, dont les travaux sont publiés par le site Arch Daily, ont imaginé les plans d’un stade olympique lunaire dans le cadre d’un concours. Comme l’explique le site, «ils étaient intéressés par le fait d’imaginer quelque chose pour un environnement avec lequel ils n’étaient pas familiers et ce concours leur autorisait certaines libertés généralement absentes d’un projet architectural».
L’enceinte imaginée, le Silo (Stadium for International Lunar Olympics), serait construite dans un cratère d’un demi-kilomètre de diamètre et pourrait accueillir plus de 100.000 spectateurs. Des lignes virtuelles seraient projetées selon les sports, l’oxygène serait obtenu à partir des pierres lunaires et de l’hydrogène serait importé de la Terre par navette lunaire.
Le site de France 24, qui consacre lui aussi un article au sujet, nous donne quelques éléments de contexte supplémentaires sur le concours, baptisé Moon Capital Competition 2010:
«À quoi ressemblerait la Lune si elle était colonisée en 2069, cent ans après les premiers pas de Buzz Aldrin et de Neil Armstrong sur le satellite naturel de la Terre? Voilà le défi un peu déjanté qu’a lancé SHIFTBoston, une ONG spécialisée dans l'urbanisme social, que designers et architectes se sont empressés de relever.»
Il nous explique que le projet de stade olympique a «retenu l’attention du jury», mais que c’est un designer, Bryan Andersen, qui a remporté le concours «avec sa base lunaire entourée d’énormes assiettes satellitaires qui pourrait produire de l’énergie solaire et la refléter sur Terre».
L’idée de Brian Harms et Keith Bradley aurait en tout cas sans doute également séduit le premier homme à avoir fait du sport sur la Lune: l’astronaute américain Alan Shepard, décédé en 1998, qui avait fait une petite partie de golf lors de l’escapade lunaire de la mission Apollo 14, en 1971.
L’enceinte imaginée, le Silo (Stadium for International Lunar Olympics), serait construite dans un cratère d’un demi-kilomètre de diamètre et pourrait accueillir plus de 100.000 spectateurs. Des lignes virtuelles seraient projetées selon les sports, l’oxygène serait obtenu à partir des pierres lunaires et de l’hydrogène serait importé de la Terre par navette lunaire.
Le site de France 24, qui consacre lui aussi un article au sujet, nous donne quelques éléments de contexte supplémentaires sur le concours, baptisé Moon Capital Competition 2010:
«À quoi ressemblerait la Lune si elle était colonisée en 2069, cent ans après les premiers pas de Buzz Aldrin et de Neil Armstrong sur le satellite naturel de la Terre? Voilà le défi un peu déjanté qu’a lancé SHIFTBoston, une ONG spécialisée dans l'urbanisme social, que designers et architectes se sont empressés de relever.»
Il nous explique que le projet de stade olympique a «retenu l’attention du jury», mais que c’est un designer, Bryan Andersen, qui a remporté le concours «avec sa base lunaire entourée d’énormes assiettes satellitaires qui pourrait produire de l’énergie solaire et la refléter sur Terre».
L’idée de Brian Harms et Keith Bradley aurait en tout cas sans doute également séduit le premier homme à avoir fait du sport sur la Lune: l’astronaute américain Alan Shepard, décédé en 1998, qui avait fait une petite partie de golf lors de l’escapade lunaire de la mission Apollo 14, en 1971.