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Ainsi, en ouverture de cette rencontre, le directeur général du Technopark Omar Balafrej, a tenu à rappeler les principaux projets et orientations de MITC (Moroccan Information Technopark Company), société gestionnaire du Technopark. Il a ainsi relevé, d’une part, la stratégie de duplication régionale de son modèle avec l’ouverture d’un Technopark à Rabat en 2012 et un nouveau Technopark à Tanger prévu à la rentrée notant que ce dernier, sis au Boulevard Mohammed V, principale avenue de la ville de Tanger, pourra accueillir jusqu’à 100 entreprises. D’autre part, il a mis en relief la stratégie de duplication sectorielle poursuivant qu’en plus des NTIC, le Technopark a élargi son champ d’éligibilité aux secteurs Green Tech et à l’industrie culturelle, renforçant ainsi son partenariat stratégique avec EAC L’boulevart, association de musique urbaine, installée au sous-sol du Technopark.
De même, Omar Balafrej a fait un dernier clin d’œil au Jnane Tech, le nouveau potager urbain, 100% bio au sein même du Tehnopark et où toute la communauté est invitée à planter une graine et à profiter de ce projet porteur des valeurs que prône le Technopark.
Lors de cette réunion, l’occasion était également propice pour annoncer, d’un côté, le changement de présidence de l’AFEM, qui vient récemment d’élire sa nouvelle présidente, en l’occurrence Asmaa Morine Azzouzi. D’un autre côté, la direction du Tehnopark a présenté le dernier partenaire en date qui est Enactus Morocco. Ce dernier s’est fraîchement installé au Technopark de Rabat où il mobilise plus de 3000 jeunes et compte plus de 200 projets de développement communautaire mis en œuvre annuellement au profit de plus de 100.000 bénéficiaires, a souligné Adnane Addioui, directeur d’Enactus Morocco.
Aussi, les responsables du Technopark envisagent de nouveaux projets dans le pipe. «Présent dans 7 pays en Afrique et en Europe, Jokkolabs Casablanca, fruit d’une collaboration entre MITC et le réseau Jokkolabs, ouvrira ses services dans quelques mois au Technopark de Casablanca», a-ton affirmé signalant qu’inspiré par la culture communautaire du mouvement opensource et la souplesse du Web 2.0, Jokkolabs s’est engagé dès 2010 avec plus de 700 pionniers mondiaux du travail 2.0 en contribuant au développement d'une nouvelle manière de travailler autour d'espaces de coworking.