Les fidèles de l’émission culturelle « Macharif », diffusée chaque mercredi vers 23h30 sur la première chaîne de télévision marocaine « Al Oula », sont restés mercredi dernier sur leur faim. Et pour cause, Dar Lbrihi leur a posé un grand lapin. Un film indien a remplacé leur émission préférée. Personne n’a daigné expliquer le pourquoi de cette absence subite de l’une des émissions culturelles les plus pertinentes sur nos chaînes nationales.
Pourtant, l’animateur de l’émission, le poète Yassin Adnan, avait bien averti le public via son communiqué hebdomadaire que l’émission allait rentrer dans un cycle de rencontres avec les sociologues marocains, en vue d’accompagner les tenants et aboutissants de la nouvelle dynamique sociale qui prévaut dans le pays depuis quelques semaines.
Au lieu donc de se tracasser la tête avec des interrogations d’analystes sociologiques, les responsables d’Al Oula ont préféré atténuer ce fardeau par la diffusion d’un long-métrage indien. Les choses ont commencé une semaine avant. Au moment où la chaîne dispose de trois émissions enregistrées autour de la thématique du 20 février, les responsables sont allés donc fouiller dans les archives pour diffuser une rencontre avec Pierre Abi Saâb, non encore diffusée. « Franchement, je ne sais ce qui se passe, je n’ai pas encore tous les éléments me permettant de vous répondre, mais bientôt on saura certainement la cause de cet ajournement de l’émission », répond Adnan.
En fait, l’on commence à penser que cette émission dérange. En fait, et avant sa diffusion, l’épisode qui avait accueilli le journaliste marocain résidant aux Etats-Unis Mohamed Alami avait connu un chemin sinueux, suite à d’interminables reports injustifiés. Apparemment, les responsables de cette chaîne ne trouvent pas encore la réponse à une question qui se pose et s’impose : comment reconsidérer le volet culturel dans la programmation télévisuelle nationale ?
Pourtant, l’animateur de l’émission, le poète Yassin Adnan, avait bien averti le public via son communiqué hebdomadaire que l’émission allait rentrer dans un cycle de rencontres avec les sociologues marocains, en vue d’accompagner les tenants et aboutissants de la nouvelle dynamique sociale qui prévaut dans le pays depuis quelques semaines.
Au lieu donc de se tracasser la tête avec des interrogations d’analystes sociologiques, les responsables d’Al Oula ont préféré atténuer ce fardeau par la diffusion d’un long-métrage indien. Les choses ont commencé une semaine avant. Au moment où la chaîne dispose de trois émissions enregistrées autour de la thématique du 20 février, les responsables sont allés donc fouiller dans les archives pour diffuser une rencontre avec Pierre Abi Saâb, non encore diffusée. « Franchement, je ne sais ce qui se passe, je n’ai pas encore tous les éléments me permettant de vous répondre, mais bientôt on saura certainement la cause de cet ajournement de l’émission », répond Adnan.
En fait, l’on commence à penser que cette émission dérange. En fait, et avant sa diffusion, l’épisode qui avait accueilli le journaliste marocain résidant aux Etats-Unis Mohamed Alami avait connu un chemin sinueux, suite à d’interminables reports injustifiés. Apparemment, les responsables de cette chaîne ne trouvent pas encore la réponse à une question qui se pose et s’impose : comment reconsidérer le volet culturel dans la programmation télévisuelle nationale ?
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