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Un distributeur de films réclame une action rapide contre le piratageSamedi 9 Août 2014
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Sans «la mise en place d’une action rapide» par le gouvernement pour combattre la piraterie, «nous assisterons bientôt au décès prématuré non seulement d’une industrie mais aussi d’une part de notre identité culturelle», écrit jeudi un des grands distributeurs indépendants de films. Dans une lettre adressée à la ministre française de la Culture, Aurélie Filippetti, et publiée dans Libération (France), Jean Labadie, président de la société Le Pacte («Jimmy’s Hall», «Amazonia», «Maps to the stars», etc) dénonce «l’impunité dont jouissent les pirates», une impunité «totalement liée à l’inertie totale des pouvoirs publics». «Dépénaliser le piratage et en faire cadeau aux électeurs sans que ça coûte un euro au futur gouvernement. Une stratégie à court terme qui oublie pertes d’emplois, de TVA, d’impôts sur les sociétés etc!», écrit encore Jean Labadie selon lequel «la piraterie a exécuté le marché vidéo et empêche également le marché de la VoD de démarrer». Le producteur et distributeur regrette «l’absence de mesures concrètes» ou encore la volonté du gouvernement de «détruire» Hadopi, l’autorité chargée de lutter contre le téléchargement illégal qui doit fusionner avec le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Hadopi coûte 7 millions d’euros par an, poursuit-il. «Soit on les économise en supprimant cette institution devenue inutile, soit on les emploie à identifier les sites illégaux pour les sanctionner financièrement et pénalement», écrit le patron du Pacte. Le distributeur souhaite confier cet organisme au Centre national du cinéma (CNC), «très motivé pour défendre le cinéma», plutôt qu’au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) dont le président «ne veut pas devenir le gendarme d’internet», conclut-il. AFP
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