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Où sont, au fait, les responsables de ladite fédé ? L'ex-président, de par son statut extra-sportif, était tenu par un droit de réserve, mais il y avait des dirigeants autour de lui qui communiquaient et qui assumaient leurs responsabilités. Les hommes de l'actuel président, un civil à ce qui paraît, l'imitent dans son mutisme pour ne pas parler de désintéressement. C'est quand même bizarre que celui-ci se fasse loquace quand il s'agit de l'eau ou de l'électricité qu'il gère, par ailleurs, et qu'il ne daigne pas piper un traître mot quand c'est de football qu'il s'agit. Ce ne serait pas digne de sa grandeur, à ce qui paraît. Qu'il le déclare donc. Et libre à lui de vaquer à d'autres occupations plus " sérieuses ". Qu'il laisse la place à quelqu'un qui sait au moins qu'une équipe de football, c'est un groupe homogène et soudé, studieusement et consciencieusement préparé, et non pas un ensemble d'individus, si performants soient-ils, que l'on tente de repêcher de partout. Ce n'est pas pour rien que des joueurs marocains se font brillants par ailleurs et brouillons en équipe nationale.
Et si on n'a pas parlé de match, c'est parce qu'il n'y en a pas eu. D'un côté une équipe avec des joueurs assez connus qui s'efforçaient de faire valoir quelques individualités dans un chaos tactique déconcertant, avec " un entraîneur " se trouvant à quelque cinq mille bornes et de l'autre, de sympas débutants qui auraient très bien pu rentrer avec trois points au lieu d'un seul. Et avec quel entraîneur ? Accorsi de son nom, quelqu'un dont même nos petits clubs n'ont pas voulu. Mais il a surtout l'avantage d'être disponible.