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Le prévenu est désormais accusé par le Ministère public de la Confédération (MPC) de violation de la loi fédérale interdisant les groupes Al-Qaïda et Etat islamique et les organisations apparentées, de participation à une organisation terroriste et de possession de représentations de la violence, précise le parquet dans un communiqué.
Selon les autorités suisses, cet homme a d'abord tenté de rejoindre l'EI en Syrie en 2017 mais échoué et se serait alors caché en Europe entre 2020 et 2021.
Il a demandé l'asile en Suisse en décembre 2021. Débouté, il aurait dû quitter le pays mais y a été arrêté peu après.
"Le prévenu aurait cherché, avant et après son arrivée en Suisse, à contacter d'autres membres et partisans de l'EI en Europe, et plus particulièrement en France, et à s'engager pour l'organisation", selon l'acte d'accusation.
Le MPC le soupçonne "d'avoir projeté un attentat terroriste au nom de l'EI en Europe, envisageant la France comme cible possible".
Il est aussi accusé d'endoctrinement et de possession de fichiers représentant des violences interdites, précise le ministère public.