-
CAN 2025: Trosisème journée des qualifications
-
Le challenge de la cycliste maroco-italienne Latifa Benharara
-
Le Symposium international "Mouvement sportif: Equité, Egalité, Intégrité" à Fès
-
African Digital Summit 2024: Débat autour des stratégies de communication des leaders du marketing sportif
-
Coupe du monde de kitesurf à Dakhla: Kesiane Rodrigues s'adjuge le titre
De retour à l'entraînement après un jour de congé, le gardien titulaire Ayem Mathlouti, blessé et toujours incertain, a été ménagé par le sélectionneur de la Tunisie Henri Kasperczak.
Déjà remplacé par Rami Jeridi contre le Zimbabwe lundi (victoire 4-2), Mathlouti ne s'est entraîné qu'un petit quart d'heure.
Le Burkina Faso s'est entraîné de son côté à l'annexe du stade de l'Amitié à Libreville sans aucun blessé à déplorer à part l'attaquant Jonathan Zongo (Almeria/Espagne) et Jonathan Pitroïpa (Al-Nasr/EUA), forfaits depuis la deuxième journée.
A Franceville, le Cameroun, quadruple vainqueur, a commencé à préparer en outsider son choc de samedi contre le Sénégal qui a fait forte impression sur les trois premiers matches.
"Nous, favoris? Non, non, pas du tout", a déclaré à la presse le sélectionneur belge Hugo Broos.
"C'est un défi de jouer contre une belle équipe comme ça et de faire un bon résultat", a ajouté Broos, à la tête d'une équipe jeune en l'absence de plusieurs cadres qui ont préféré rester dans leurs clubs en Europe.
"Quatorze joueurs dans la sélection n'ont jamais joué la CAN", a-t-il d'ailleurs relevé avant de défier le Sénégal. "Ça veut dire qu'on n'a pas l'expérience dans de pareils tournois".