-
Il installe un manège dans son jardin pour ses petits-enfants, mais ça pourrait lui coûter cher
-
Aux Etats-Unis, les adeptes du télétravail ne veulent pas revenir en arrière
-
Un entrepreneur américain coincé dans un robot-taxi qui se met à tourner en rond
-
Un restaurant anglais relance les hostilités contre la pizza à l'ananas
-
Des joueurs accusent Musk de mentir sur ses talents dans les jeux vidéo
Les plans ont été publiés par la branche de recherche de l'entreprise. Ils prévoient la construction d'une bande de 11.000 km de long, et 400 km de large, s'étendant sur le côté visible de la Lune. La construction serait effectuée directement sur la Lune: le site de la compagnie précise que la plupart des matériaux pourraient être extraits du sol lunaire. Les robots joueraient un rôle important dans ce chantier, participant à la construction et l'extraction de ressources, l'assemblage de machines et équipement dans l'espace, ou simplement le travail à la surface.
Le site pieuvre.ca précise que la robotisation de la plupart des machines permettrait «sans doute ainsi de réparer les nombreux bris causés par les impacts de météorites sur la surface lunaire».
Pour le site World Future Society, «l'Anneau de Lune est constructible. Panneaux photovoltaïques, robots contrôlés à distance, transmetteur à micro-ondes et à rayons laser sont déjà des technologies éprouvées.»
Son prix? Selon le chef de la branche de recherche, Tetsuji Yoshida, «le prix est un problème. Mais le prix est un outil humain d'échange de biens. Peut-être que ce genre de projet pourrait dépasser nos échelles habituelles de prix. Il faudrait alors trouver un nouveau terme pour le décrire».
«Un projet de cette échelle et de cette envergure devrait requérir la volonté de centaines de millions de personnes pour soutenir de nouveau un programme spatial gouvernemental. Il devrait requérir des sacrifices, sous forme d'augmentation des taxes, de coupes dans d'autres budgets, ou les deux. Aujourd'hui, cela paraît au-delà des capacités du monde développé», conclut le World Future Society.