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Le réseau routier qui mène vers la ville est dans un état lamentable et impraticable. C'est bien de dire que le Maroc dispose d'un réseau routier qui le place parmi les premiers pays africains avec un linéaire total de 60000 km dont 60% de revêtus, mais ce réseau nécessite une maintenance surtout dans les régions enclavées comme la nôtre où la route constitue la seule voie de communication .
Le tronçon reliant Zaida à Khénifra ne permet plus le passage facile des véhicules.
Il est vrai que les dernières chutes de neige et de pluie y sont pour quelque chose, mais ce problème s’est posé bien avant.
L’on a déjà réclamé un programme de réaménagement de cette route mais en vain. Sur la route régionale conduisant de Boulaajoul à Boulmane, un tronçon de plus de 50km, représente un grand danger pour les usagers, tellement c'est plein de nids de poule et de dos d'âne avec absence totale de panneaux de signalisation.
Vers l'est et plus précisément sur la route régionale à Missour , sur le trançon Midelt –Ksabi, il n'y a plus de trace de goudron, deux véhicules éprouvent beaucoup de difficultés à se croiser.
Depuis longtemps, les conducteurs qui empruntent cette route se plaignent sans que les responsables du ministère de l'Equipement se penchent avec sérieux sur ces dysfonctionnements.
Il ne s'agit là que d'un exemple, parmi tant d’autres, qui montre à quel point le réseau routier du cercle de Midelt est très défaillant et les risques que les usagers de la route encourent et surtout de nuit.
La sécurité routière n'est pas uniquement le respect du Code de la route, c'est aussi le service de maintenance. On n'exagère pas, en disant qu'il est pratiquement impossible de circuler sur les routes citées à plus de 30km/h. Au-delà de cette vitesse, on risque de détériorer l'état du véhicule.
Il est temps que les responsables locaux signalent à leur ministère de tutelle cette situation alarmante.