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Tombouctou est victime de la démolition de plusieurs mausolées de saints musulmans reconnus patrimoine universel par l’UNESCO et constituant souvent des bibliothèques renfermant de précieuses archives religieuses et scientifiques millénaires.
Les rebelles « Ansar Dine », un nom usurpé en fait puisqu’il ne reflète point les agissements barbares de ces islamistes sans foi ni loi qui osent s’attaquer à des sanctuaires spirituels et culturels au nom d’une doctrine extrémiste étrangère aux fondements essentiels de l’Islam.
Déjà de nombreuses voix se sont élevées de par le monde pour dénoncer ces destructions criminelles. Le Mali en premier qui exhorte les Nations unies à prendre les mesures nécessaires pour arrêter ce crime contre l’héritage culturel des Maliens.
La Cour pénale internationale (CPI) considère que la destruction des mausolées à Tombouctou est un crime de guerre passible de poursuites.
Le Maroc dont on connaît les liens historiques avec le Mali et particulièrement avec Tombouctou a lancé un appel à la communauté internationale pour une intervention urgente et conjointe afin de protéger le riche patrimoine malien.
Il y a aujourd’hui urgence pour la communauté internationale de réagir. Il y a feu en la demeure, car l’obscurantisme de ceux qui se prétendent « Ansar Dine », les défenseurs de la religion, une imposture, est poussé à son paroxysme.