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Le président Obama et son homologue sud-coréen évoquent la sécurité de la région
La Corée du Nord menace de représailles en cas d’intervention contre le lancement de sa fusée Selon le site internet de la chaîne d’information américaine CNN, Pyongyang a commencé à remplir la fusée en carburant, citant une source militaire américaine anonyme. D’après les experts, un missile peut être lancé trois ou quatre jours après le remplissage du réservoir.
Le porte-parole du gouvernement japonais Takeo Kawamura a indiqué que son gouvernement et celui des Etats-Unis n’avaient pas confirmé l’information. Le ministère de la Défense sud-coréen n’a pas commenté l’information.
Les gouvernements de la région ont commencé à déployer des bateaux pour contrôler le lancement et le Japon a prévu de récupérer les débris qui pourraient retomber s’il tournait mal.
Les autorités de Pyongyang déclarent vouloir lancer un satellite de communication grâce à une fusée entre samedi et mercredi prochains. Les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon craignent que la Corée du Nord utilise ce lancement pour tester un missile à longue portée, et ont prévenu les autorités nord-coréennes qu’elles s’exposaient à des sanctions prévues par une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.
La Corée a prévenu qu’elle répliquerait à toute intervention étrangère. “Si le Japon intervient imprudemment contre notre satellite pacifique, l’armée déclencherait une foudre de feu, non seulement contre les moyens mis en oeuvre mais aussi contre des cibles-clé”, rapporte l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA, qui cite un haut responsable de l’armée.
L’agence de presse sud-coréenne Yonhap précise qu’un escadron d’avions de chasse MiG-23 a été déployé sur une base proche du site de lancement, selon des responsables non identifiés. Le ministère de la Défense n’a pas commenté l’information.